contexte inspiré de la mythologie grecque et de percy jackson

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Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...

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Denial. [pv. Alejandro]
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Denial. [pv. Alejandro] Mer 30 Aoû - 10:45
On se lève. On va travailler. On rentre se coucher.

Et on répète.

On se lève. On va travailler. On rentre se coucher.

Et on répète.

C’est une autre façon d’appeler le métro, boulot, dodo. Mais peu importe les mots que l’on utilise, le sens propre de cette expression reste la même. Les jours se suivent et se ressemblent. Tu déroges rarement à la règle tacite de ton emploi du temps fictif. Et lorsque tu y déroges, très souvent, ce n’est pas de ton fait. Parfois, c’est parce qu’un de tes rares proches décide à venir perturber ton quotidien.

Aujourd’hui, tout commence bien. Tu te lèves. Tu bois ton premier café avant de te doucher, accompagné de sa sempiternelle première cigarette. Un coup de propre, un vague coup de peigne, enfiler les instruments de torture qui pourtant soulagent ton mal, avant de filer au travail, clope au bec, afin d’y retrouver ton deuxième café… et tes outils. Tu as encore un peu de marge avant de partir pour ta livraison. Un peu… pas mal. Elle est prévue pour cet après-midi, normalement. Donc tu peux jouer du marteau pour achever quelques autres commandes avant le déjeuner.

Tu n'as pas mangé, bien évidemment, quand vient l’heure de décoller. Tu n’as ingéré que du café et du tabac depuis ce matin. Un jour, peut-être, tu apprendras à prendre soin de toi. En attendant, ton corps est un peu trop habitué à se faire maltraiter. Ton esprit, aussi.

Bref. En route.

L’arène.

Gros client, ici.

L’air impassible – et peut-être un peu acariâtre, tu attends qu’on vienne te libérer de tes colis, patiemment. Clope au bec. Surprenant. Tu as l’air épuisé. Cerné comme un bandit. Bordel. Tu veux juste rentrer. Tu ne te sens pas à l’aise, ici. Cela ne t’intéresse pas, de rester ici. Tu n’aimes ni la violence, ni les gens gaulés comme des dieux grecques.

Et pourtant… ton regard te trahit, lorsqu’il vient effleurer les lignes qui sculptent la carrure d’un combattant. Lorsqu’il accroche une goutte de sueur qui roule le long de la peau tannée par le soleil d’un jeune homme.

Tu déglutis, péniblement.

Tu veux partir. Maintenant. Tout de suite. Vite.

De toute façon, tu n’aurais jamais aucune chance avec qui que ce soit. .

Et puis, de toute façon, cela ne t’intéresse pas. Tu n’en as ni l’envie, ni le besoin.

Tu te mens.
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Denial. [pv. Alejandro] Mar 26 Sep - 17:57


DENIAL
Le fracas des lames qui se croisent et s’abattent l’une sur l’autre, c’est ça qu’Alejandro est venu chercher ici. Du divertissement, rien d’autre. Certainement pas des souvenirs auxquels il s’accroche vainement. Ce n’est pas rare de le voir traîner ici, quand il n’a pas de cadavre à embellir. Le peuple de l’arène ne lui dit rien, ne le chasse pas. Il les observe se battre, comme il observait à l’époque sa sœur distribuer les raclées.

C’est presque cathartique, cette violence qui divertit. Et le fils de Perséphone remarque rapidement qu’il n’est pas le seul à profiter du spectacle. Un type qui fait de la peine se tient un peu plus loin, trimbalant quelques paquets. Ce genre de regard, celui qu’il arbore et qu’il semble bien embarrassé de poser sur le corps d’autrui, Alejandro ne le connait que trop bien. Il le comprend, même si lui ne s’est jamais trouvé honteux de se surprendre à mater : la main dans le sac.

Âme charitable, le Colombien ricane, mais pas trop. C’est sans méchanceté, car lui-même a perdu de sa superbe et en est conscient. Sortant un cigare de l’étui qu’il garde toujours bien au chaud dans la poche de sa veste, Alejandro s’approche. Assez pour en imposer par sa carrure et par le sourire de connivence qu’il impose a l’inconnu et a ses paquets. Une seconde passe, puis une deuxième.

« Pas de problème à ce que j’emprunte ton feu ? »

Le thanatopracteur désigne vaguement le bout de son cigare. C’est une question qui n’en est pas vraiment une.

« La vue est appréciable, je me trompe ? Excuse ma franchise, l’ami, mais c’est tout de même affligeant de te voir t’affoler dans ton coin. Où est le mal à toucher avec les yeux ? »


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Denial. [pv. Alejandro] Mer 27 Sep - 12:19
Tu sursautes, sans le vouloir, alors qu’une voix semble s’adresser à toi. Tu essaies de te redresser un peu – comme possible – avant de tourner le visage vers lui. Il veut quoi ? Ah. Tu feu. D’un claquement de doigts – littéralement – tu présentes une flamme pour qu’il puisse allumer son cigare. Tu veux juste te débarrasser de lui le plus rapidement possible. De toute façon, aimable comme tu es, il devrait bien partir rapi-…

Ah.

Quoi ? Tu fronces les sourcils. Avant de pencher la tête sur le côté, lentement. Tu te sens… vexé ? Blessé ? Heurté dans ta fierté ? Gêné.

« Je ne vois pas de quoi vous parlez. »

Tu lâches, un peu sèchement. Peut-être plus que désiré. Mais tu n’aime pas l’idée qu’un inconnu t’aborde pour te parler de cela. Surtout à toi. Surtout pas.

« Je cherche simplement le type à qui je dois remettre cette commande. »

Le déni. Le beau, le superbe. Les sourcils froncés. La défensive. Tu soupires. Toi aussi, tu fumerais bien un truc. Alors, tu t’accroupi, pose ce que tu dois poser. Te sors une clope. Essaie d’avoir l’air relax. Décontracté. Autant qu’il t’est possible de l’être – c’est-à-dire, proche du barreau de porte de prison. Et tu t’allumes une clope.

« Je suis là pour le travail. Et uniquement pour le travail. »

Justification. Tu n’en as pas besoin, pourtant. Puisque tu n’es pas intéressé. Hmm ?
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Denial. [pv. Alejandro]
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