contexte inspiré de la mythologie grecque et de percy jackson
contexte
Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...
La moisson est passée, l'été est fini, Et nous ne sommes pas sauvés + Divine
Camille Giovanni
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La moisson est passée, l'été est fini, Et nous ne sommes pas sauvés + Divine Lun 18 Sep - 21:57
❝ L’été est passé et nous ne sommes pas sauvé❞
Ses pas sont un tumulte couronné de silence. Contre les pavés blancs et parfaits de Nausikaa, elle tâche le sol de sa présence, en dessine les contours amers ; elle est une ignominie parmi eux. La beauté intrinsèque de son visage contraste avec les pommettes saillantes, une lame effilée par les traces de son ossature.
Mortellement douce.
Quand elle rentre dans la pièce, elle ne fait pas de bruit, pourtant le silence est brisé de sa présence. Tout en elle crie. L’entends-tu Divine ? Elle vibre au milieu de la scène, en fait un espace de guerre où ses cheveux flamboient de sa gloire.
Contemple là, car tu es l’une des rares qui peut apercevoir ses traits, qui peut voir la réalité. Regarde-là Divine.
Car au moment où ton attention déviera de sa personne, elle enflammera le monde. Elle aura brisé les chaînes et repris l’océan d'où sont nés les hommes. Elle sera enfin libre.
Tu vas vraiment continuer à lécher les pieds de ce corniaud de merde ? Tu es sérieuse Divine ? Tu vas vraiment accepter de baisser la tête ?
Elle crache encore et encore. Elle ne fait que libérer les flammes. Enfin.
Ecoute moi bien Divine de Guisé, toi, la cheffe que je respecte, tu vas bouger ton putain de cul, tu vas te relever et arrêter d’accepter les conneries de Seraph et de ses chiens, les Spartes sont guère mieux qu’une fraternité universitaire, et encore eux aux moins savent parfois réfléchir.
[DIVINE] - [SEPTEMBRE 2023]
Divine de Guisé
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La moisson est passée, l'été est fini, Et nous ne sommes pas sauvés + Divine Mar 19 Sep - 0:28
Rage On My soldiers doesn't fear the end of the world.
Dans ce lieu, confinée du monde, tu était semblable à cette montagne affaissée. Les muscles détendus et l’air concentré te rendait presque studieuse comme si dans les instants étrangers, tu n’étais plus la guerrière et la maîtresse de cette destinée hasardeuse que tu nommais tienne.
De ta main, tu frottais tes yeux, tentait de détruire doutes et angoisses. L’empire tremblait sous les vibrations de ta colère, de ces humiliations que tu ne supportais plus. Les Spartes n’étaient qu’une supercherie où tu ne savais plus si ton devoir était de rire ou de hurler.
Quand était la dernière fois que tu avais hurlé Divine ? Que tu avais relâché cette hargne primitive dont tu ne faisais désormais que de te remémorer des nuances ? Tu ne vivais plus désormais Divine, tu le sentais, tu sentais cette violence désormais tapie dans tes muscles, cette férocité oubliée, tu voulais régner.
Tu devais régner.
Le stylo s’effritait entre tes doigts, un enfant terrible dont la substance trempait tes doigts de la noirceur, avant que tu ne réagisses, avant que tu ne juras, la porte s’ouvrit dans le bruissement des irascibles rancœurs.
Tu ne levais pas la tête, tu ne faisais que ressentir ce flux, cette revendication permanente pour ne pas disparaître.
Camille.
Ses mots sont assassins car elle souhaitait tuer pour purifier, te laver de l’erreur de ta faiblesse et de ton désir d’appartenir. Camille se hissait face au monde, crachait le venin de ses pensées pour mieux contempler de ses yeux transparents la vérité, la tendre et sincère vérité.
Divine, tu n’étais pas faite pour la misérable fraternité des Spartes, pour cet orgueil dont la profondeur se désirait immense mais dont la taille se fondait sur rien. Un empire déjà effrité par les tempêtes de sable de l’expérience, il ne restait rien de plus que Seraph comme le dernier pharaon, comme l’aube doucereuse, comme le leader des troupes sans visage.
-Bonjour Camille.
Dans les échos des murs nus,le son de ta voix paraissait paien. Tu levais enfin la tête, déposait la carcasse disgraciée du stylo sur le bois de ton bureau.
-Vous êtes bien présomptueuse de venir ainsi d’imposer votre colère et vos reproches sans nulle autre affirmation de ma part. Paraisse-je si complaisante que vous venez ici sans invitation ni respect envers ma personne ?
Les mains croisées, la montagne se redressait. La tignasse blanche des années de vie se reflétait dans le soleil comme cette couronne d’un ciel trop couard pour t’appeler sienne.
-Mais soit, vos mots viennent d’une place d’inquiétude. Alors je répondrai. Seraph m’insupporte, Les spartes deviennent chaque jour plus ridicules, plus violents, plus creux. J’ai juré voici mon défaut, j’ai juré de rester à leur côté. Et ma parole, bien que non assertie par les dieux, a le poids d’absolu.
Comme tu as juré d’aimer Arthur, juré de le protéger. Voici où te mènent tes promesses, Divine de Guisé.
-Mais le mouvement doit être lancé, Camille. La milice n’est pas une extension des Spartes et je refuse que vous soyez ainsi asservis pour ces guérillons et leurs orgueils m’entendez vous ?
Ta voix comme un orage, ta voix comme l’odeur du pétrichor avec les flots, ta voix comme si tu contrôlais l’univers entier par tes volontés.