| Solan VaughnUn·e parmi les Autres | Messages : 193
Drachmes : 721
Avatar : link, the legend of zelda
Age : 35 ans
Statut : demi-déité
Parent divin : déméter
Défaut fatal : la résolution
Pouvoirs : chlorokinésie (s), contrôle des araignées (s), phytomorphose (a) géokinésie (c)
Poste et/ou Métier : chercheur-euse
Particularité : brumiste
Notes : avatar : art par @ico_ovo (twitter), @poscipeep (twitter), @_tairou (twitter), @feriowind (twitter), @dustjoule (twitter), @renjianshilian0 (twitter), @tagzpite (tumblr), @artsyvampp (twitter)
Inventaire : stylet de procuste
En couple avec : justice
Autres comptes : winnie, garance
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| paint the town red (saturne de brisis) Mar 12 Sep - 18:41 cw sacrifice (??) she the devil ce n'est pas aussi difficile qu'on le pense, que d'obtenir une adresse pas besoin de chiffres de lettres de google il suffit finalement de faire semblait d'être occupé-e sur son rainphone et de suivre comme si de rien n'était, qu'y a-t-il de si étrange que quelqu'un qui rentre chez ellui ? nomos est grand oui mais j'ai des courses au bout du bras et des écouteurs dans les oreilles et ma capuche est rabattue oui mais j'ai l'air trop absorbé-e par l'écran pour porter attention à quoi que ce soit et parfois je te laisse partir juste pour continuer de ne pas être identifié-e ah quel comble ça serait pour moi que de devenir quelqu'un à tes yeux alors le lendemain j'aurais des cheveux bruns et un piercing au nez, et le jour d'après j'aurais trente centimètres de plus, et après encore je mettrais des talons mes yeux seront toujours faux tu ne les verra pas rester sur ta nuque tu ne les verra pas se coincer sur tes lèvres pour deviner les mots les réactions pour millimétrer les choses pour augmenter les chances de réussite je perds trop de temps j'ai milles choses à faire et je dois rapporter future cadavre comme les chats amènent leurs proies à leurs maîtres -mais le mien c'est bien pire qu'un lion c'est un ange crois-moi tu saura quand tu le verra et moi je serai peut-être jaloux-se de te savoir entre ses lèvres et c'est ah je ne sais pas je reviendrai pour te le demander. et quand il est temps, j'arrive il n'y a de moi que ce qui ne m'appartient pas : timothy a la même taille mais ce n'est pas la mienne, il a aussi la finesse de mon corps mais ce n'est plus le mien non plus, le reste je l'arbore en le détestant un peu : je n'aime plus voir du blanc dans mes cheveux la pâleur de la peau le chocker noir les piercings dans les oreilles la queue de cheval haute les contours des yeux noirs un paquet de clopes dans la poche, il fait nuit mais c'est à ces heures-là qu'il sort sans aucun plan assez bien ficelé pour te prévenir, te les dire, avant de toquer à ta porte H-hey. le doigt s'enroule autour de la mèche de cheveux, il y a du rose sur ses-- mes joues. un temps d'attente, de rien. d'observation, peut-être. timothy semblait être hésitant. incertain de comprendre pourquoi il était là. Je passais dans le coin et, je sais pas, je me suis dis -ça te dit de sortir un peu ? la question est maladroite la voix déraille ah timothy oui n'est pas convaincu, après tout il ne fait que se faire manger par ses émotions et de ce manque de maîtrise, de ce reflet de moi, je le déteste. j'aimerais voir sa colère. En fait, j'arrive pas à dormir. et par là je veux dire : j'ai vu vos mains après le concert j'ai vu vos yeux qui se cherchaient j'ai vu le réconfort qui voulait jaillir d'entre vous et alors alors timothy dit : peut-être que tu m'apaisera, saturne. et si cela ne fonctionne pas, il est encore temps de faire demi-tour. | | | |
| | paint the town red (saturne de brisis) Mer 27 Sep - 10:59 Le besoin d’oublier. Le besoin d’inhiber. Les souvenirs. La douleur. Les sentiments qui percent. Pourquoi lui ? Pourquoi toi ? Pourquoi maintenant ? Tu le savais, déjà, au fond, que les formes masculines ne te laissaient pas toujours indifférent. Mais lui, tu le connais depuis des années et tu n’as jamais été troublé. Et maintenant ? Et maintenant. Un soupire, sonore. Ton appartement est un bordel sans nom. Comme ta tête. Défaitiste. Pessimiste. Il ne te regardera jamais de la sorte. Tu le sais. Tu en es convaincu. Tu le sais. Le corps en vrac. L’espoir est parti acheter des cigarettes et ne reviendra pas. On toque à la porte. Clope au bec, l’allure débraillée, plus cerné que jamais, la peau suintant le café qui coule dans tes veines et a remplacé le sang, tu vas ouvrir en râlant. C’est lui.C’est lui, et tu n’es pas en état. Défoncé. Mais tu ne vas pas le renvoyer, hein ? Tu déglutis. Écrase ta clope dans ta main, avant de remettre ton haut en place et tes cheveux, également. « Salut. » Tu lâches, simplement. Il parle. Tu le laisses faire. Tu aimerais lui dire que tu es content de le voir. Tu aimerais le lui montrer. Mais tu ne sais pas faire ça. Pas encore. Tu ne vois rien qui cloche, toi. Tu ne vois jamais rien. Et tu n’es pas vraiment maître de toi-même à l’instant, non plus, alors… « Sortir ? » Une pause. Un temps. « Ok. J’arrive. » Tu vas juste mettre des chaussures, ton corset, ton attèle, prendre ta canne… tu te sens minable de prendre autant de temps pour juste pourvoir « sortir ». Surtout que t’es clairement moins efficace, quand tu planes. Tu reviens, finalement. « Désolé. Tu sais ce que c’est… » Tu marmonnes, ferme à clé derrière toi. Nouvelle clope, une fois dehors. « Pourquoi ? » Pourquoi tu dors mal ? Pourquoi t’es venu me voir ? Pourquoi tu as pensé à moi ?Questions que tu n’oseras pas poser. Mais elles te taraudent. Tu ne te méfies pas. Tu ne réfléchis pas à autre chose qu’à lui. Qu’à ce que tu ressens, maintenant. Ton cœur qui s’agite, un peu, dans ta poitrine. L’envie de sourire. Peut-être que tu le fais, même ? Discrètement. Peut-être. Tu n’es pas sûr. Mais… Ce n’est pas si désagréable, que de sortir. Avec lui. | | | |
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| paint the town red (saturne de brisis) Ven 29 Sep - 19:00 cw sacrifice (??), cw substances she the devil la porte s'ouvre et le spectacle est navrant ah ! je ne m'attendais pas à des fanfares ou des étoiles mais c'est une ruine devant moi et ça ne me fait pas sourire, je pourrais me moquer mais je n'ai rien à dire : tout ce qui m'importe c'est la chaire et elle ah elle est intoxiquée il y a dans tes veines peu importe ce que tu as avalé, et dans tes poumons peu importe ce que tu as fumé, et pour cela, je ne te pardonnerai PAS un instant j'hésite -à repartir, à te laisser là, parce que tu n'es pas assez bien pour ladon parce que tu n'as aucune idée du privilège que je te fais mais j'ai perdu trop de temps, et il me faut le nourrir -j'irai, alors, m'assurer qu'il aille bien après son festin. Bien sûr, pas de soucis, que je dis, sans savoir ce que c'est, ou alors, pas vraiment -je crois que là c'est timothy qui ment, pas moi, parce que moi j'ai un trou sur mon côté, parce que moi parfois je crois avoir de nouveau mon bras mais seulement parce qu'il me fait mal parce que j'ai des fantômes dans mon corps parce que mon cœur n'a pas encore enterré ce qui a été et pour me venger je défonce mes cheveux aux colorations et j'étouffe mon moignon du métal de ma prothèse oui, je sais et alors, encore, quelle proie -serait-ce plus rapide que de t'assommer et de t'emmener directement ? ça ne semble pas si compliqué, et ton corps est si fin j'allais presque croire que je pourrais le soulever timothy prend une cigarette aussi c'est une nuit à fumée, semble-t-il il faut mettre des nuages devant cette lune trop lumineuse (elle me regarde, j'ai l'impression) Je pense que tu sais pourquoi ... c'est là l'art des menteur-euses : ne jamais rien dire, et alors je ne dis rien, et je laisse le silence faire sa place, je parle à travers lui et alors tu entends tout ce que tu voudra et il fait nuit oui il fait un peu froid c'est ça les soirs d'août lorsque septembre arrive, j'ai hâte de l'automne parce qu'alors tout mourra et je n'aurais plus l'impression que ma mère m'observe à partir de chaque brin d'herbe Ca te dit, d'aller sur l'isthme ? Pas plus loin, juste l'isthme. Je ... Je voulais y aller, pour montrer que j'ai pas peur. Mais j'y arrive pas. Et, tu vois, peut-être, avec toi ... le silence, encore, qui meuble avec les blocs que tu veux la voix était chevrotante, incertaine encore, et peut-être que les yeux de timothy brillent un peu trop, et peut-être qu'il y a là des gouttes de peur, et peut-être que c'est à un rien de couler Je veux pas avoir peur toute ma vie. ces mensonges horribles -prends-les tant qu'ils sont là, saturne car bientôt je te les arracherai et jamais plus tu ne vivra sans la peur. | | | |
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