contexte inspiré de la mythologie grecque et de percy jackson
contexte
Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...
Pouvoirs : barrière mentale (s) | pacification (s) | pyrokinésie (s) | métamorphose en chat (b) | génie culinaire (c)
Poste et/ou Métier : ambassadeur et pianiste professionnel
Particularité : se foutre dans la merde (tout seul)
Notes : tw possibles irp : érotisme, violence, vulgarité, auto-destruction et dégradation de soi, consommation de substances illicites, mort || tw personnels : abus sexuel, maltraitance envers les animaux et les enfants (bien sûr, tout sera discuté en amont) love sur vous ♥
Inventaire : une lance (boucle d'oreille) + deux dagues jumelles
sound of revenge ★ quand on lutte contre des monstres, il faut prendre garde de ne pas devenir monstre soi-même.
tu lui as donné rendez-vous. c’est le lendemain, Sasha. filant et laissant Yeon à la maison. t’aimes pas être dans ses pattes. surtout pas quand il travaille. voir Sucrette, faire autre chose quoi.
sans donner la moindre précision. voir Vega et lui parler de cette entrevue. t’essaye depuis longtemps, trop même. de nier le passé, de le feinter. mettre un coup sur vos erreurs. sauf que ça reste sous la peinture du temps.
et tu lèves le nez, en entendant des pas. cela fait des années que tu ne la vois plus. que tu ne la cherche plus au travers de Vega. tu t’en es toujours voulu à mort de le faire. mais là, après hier, ça te frappe d’un seul coup. te coupe le souffle trois secondes, Sasha.
finalement, tu réussis à étirer une risette. un sourire juste pour elle, juste pour Vega. ta meilleure amie avec qui c’est si compliqué. la sensation perpétuelle de tourner autour du pot. c’est comme ça depuis qu’elle est morte. non, depuis que t’es passé à autre chose, Sasha.
c’est depuis que tu vas mieux. pourtant, le soleil à tes lèvres est sincère. même si ton regard tremble encore. là, vous allez foutre les deux pieds dans le plat. et t’es pas certain d’être prêt pour ça. assis sur ce banc, tu attends qu’elle s’assoit.
▬ Hey, j’espère que… ça va ?
la sensation que ce n’est jamais le cas. comme si dire oui était machinal. ça évite les questions, mais ça ne règle rien.
▬ Je sais pas trop par où commencer.
le début c’est bien, Sasha, c’est logique aussi. ton regard quitte le sien, fixant le sol. tes coudes sur tes genoux, menton à tes mains.
▬ Il se fait appeler Duke, il est grand, mince, une dégaine de clown fou et… ta voix déraille. Elle avait mon odeur sur elle quand– tu ne peux pas le dire. Il me l’a dit.
ça tourne en boucle dans ton esprit. ça te rend un peu fou, larmes qui coulent. inspiration difficile, t’oses pas la regarder.
(c) noctae
Invité
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sound of revenge.❞ — vega Lun 17 Avr - 15:13
sound of revengesasha & VegaÇa t'a bien prit vingt minutes. d'arrêter de trembler. d'arrêter le flux incessant de pensées, les souvenirs de se jouer, en boucle, dans ton esprit. de trouver la force de taper les lettres sur ton rainphone. bibliothèque. 15 minutes. t'as écrit ça sans réffléchir. t'es pas prête. et t'es pas à 15 minutes de la bibliothèque non plus. t'es juste là. les cheveux même pas lissés. les yeux pas maquillés. en pyjama. qu'importe. tu dois y aller. tu dois savoir ce qu'il s'est passé. même si au fond, tu sais que tu devrais pas. tu dois savoir s'il va bien. l'urgence te mets dehors sans que tu t'en rende vraiment compte. sans que tu ne sente la vibration de ton téléphone non plus.
short en coton blanc qui pourrait se faire passer pour une tenue de sport et vieux t-shirt de baseball, basket sur deux chaussette dépareillées. au cas où ton expression grave ne suffisait pas à signaler ta détresse. t'as juste pas la force de faire le moindre effort. sortir dans ces condition, c'était déjà beaucoup. mais tu savais qu'il vallait mieux pas qu'il vienne. parce que tu savais que ça serait une conversation difficile. et t'avais pas besoin de plus de fantômes réentactant le passé dans tes murs.
il est là. assis sur le banc, appuyé sur ses coudes. depuis combien de temps, tu te demandes. lui aussi, sûrement. il semble aussi perdu que toi. de sa posture à son regard, quand il te demande si ça va. et vous savez tous les deux qu'aucune réponse n'est nécessaire. ce simple sourire entendu, celui qui cache des larmes qui ont déjà trop coulé. et tu peux pas t'en empêcher. de penser qu'elle aurait dit oui quand même a ta place. qu''elle aurait mit sa main sur la sienne pour le rassurer. et si le premier est trop tard, t'as encore le temps pour le second. de chercher la chaleur de sa peau contre tes doigts. de mimer l'expression inquête qui se serait dessinée sur son visage, alors qu'il cherche comment t'expliquer ce qu'il s'est passé.
pourtant.
pourtant tu trembles, quand il décrit l'hydre. quand sa voix déraille pour mentionner ce moment. quand il relate les mots du monstre. t'aimerai ressentir quelque chose, vega. ou tout du moins, t'aimerai savoir ce que tu ressens. perdue dans la tempête d'émotions, il n'y a que le vide qui t'atteint. mélange désordonné, qui ne donne que ce brun sombre et qu'on peine à nommer.
ils ont parlé.
et ça te parrait tellement dingue, vega. ça te parraît tellement dingue. t'arrive juste pas à comprendre ce qui a pu se passer.
pourquoi...
t'arrives à peine à visualiser la scène. c'est surréel. la silhouette allongée du monstre, jambe croisée sur une chaise de café, sirotant sa boisson chaude face à un sasha tout aussi désabusé. c'est tout ce que tu imagines. ils ont parlé. comme si le moindre mot sorti de la gueule de cette immondité pouvait changé quelque chose. comme si savoir son nom, comme si entendre les détails allait changé quelque chose.
est-ce qu'il s'était battu au moins? où avaient-ils simplement échangé quelques courtoisies passé les présentations? qu'est ce qu'ils ont bien pu se dire qui soit si important pour que malgré cette entrevue, ils soient encore tous les deux là ?
y a comme une impression d'injustice qui brûle quelque part. comme une impression de trahison. comme celle que tu étouffe, quand tu le vois avec Yeon. comme si s'il n'avait jamais été là, le sasha que tu connais aurait agit différement. il aurait vengé lyra. c'est ce qu'il aurait du faire. s'il l'aimait encore.
et y a comme cette sensation d'abandon. celle d'une douleur partagée que tu n'es finalement la seule à porter. parce qu'il est passé à autre chose, lui, après tout. parce qu'en faite, t'es la seule à être restée coincée dans le passé. et tu peux pas accepter ça, vega. tu peux pas accepter de ne plus la savoir dans le même bâteau. même si l'idée que tu te fais de la situation est à des lieux de la réalité. même si tu devrais savoir que tu ne peux pas faire confiance à tes constantes impression de trahison. ça ne t'empêche pas de sentir les larmes rouler sur tes joues. pleures que tu ne prend même pas la peine d'essuyer.
pourquoi il ne t'as pas mangé toi?
y a rien qui va dans ce que tu dis. tu t'entends débiter ces conneries, et pourtant, t'arrives pas à les arrêter. tu retombe dans cette spirale auto-destructrice. parce que ça faisait longtemps que tu n'avais pas eu a entendre parler d'elle a voix haute, peut-être. parce que t'avais pas eu a reparler de ce moment. pas eu a en entendre plus que ce que tu avais déja vu. pas eu besoin d'ajouter un autre détail a ce film déjà bien trop détaillé. et qu'est ce que tu peux détruire de plus important que lui? pourquoi toi.. pourquoi toi tu as le droit de vivre?
Pouvoirs : barrière mentale (s) | pacification (s) | pyrokinésie (s) | métamorphose en chat (b) | génie culinaire (c)
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Particularité : se foutre dans la merde (tout seul)
Notes : tw possibles irp : érotisme, violence, vulgarité, auto-destruction et dégradation de soi, consommation de substances illicites, mort || tw personnels : abus sexuel, maltraitance envers les animaux et les enfants (bien sûr, tout sera discuté en amont) love sur vous ♥
Inventaire : une lance (boucle d'oreille) + deux dagues jumelles
sound of revenge ★ quand on lutte contre des monstres, il faut prendre garde de ne pas devenir monstre soi-même.
elle est là, sa panique avec elle. tu voudrais la rassurer, Sasha. trouver des mots, mais ça fait longtemps. longtemps que tu ne sais plus quoi dire. même si tu lui demandes comme elle va. mal, forcément, toi aussi.
pas de réponse, mais on se comprend. elle prend place près de toi Vega. une main qui touche la tienne. c’est fugace, furtif, car tu bouges. te penchant en avant, quitter son regard. coude sur les genoux, menton aux mains.
tu lui décris Duke, le monstre. voix qui déraille et larmes qui roulent. tu la sens trembler à tes côtés, Sasha. mais t’es incapable de la regarder. sauf que Vega elle murmure : pourquoi… et ça t’oblige à croiser ses prunelles.
elles sont comme éteintes. perdue dans une autre dimension. lieu cauchemardesque, c’est certain. et elles roulent aussi les larmes sur ses joues. tu te redresses, Sasha, venant les sécher. doigts qui caressent sa pulpe, frisson ravaler.
pourquoi il ne t’as pas mangé toi ? ça te laisse interdit, te prend de court. les yeux écarquillés tu bats des cils.
▬ Je-
mais t’as rien à dire, Sasha. et pendant ce temps, Vega, t’achève. pourquoi toi… pourquoi toi tu as le droit de vivre ?
▬ Je…
à nouveau, phrase et pensée avortées. tes mains tombent, quittent ses pommettes. regard perdu dans le sien, puis se détourne. ça t’arrache le coeur, Sasha, ça brûle. t’as envie de hurler et tu ne fais que t’appuyer. le dos contre le dossier, la tête basse.
▬ J’en sais rien.
et c’est vrai, tu ne sais pas, Sasha. il aurait pu te bouffer, t’étais seul. mais il ne l’a pas fait et tu es là.
▬ Tu m’en veux. affirmation. N’est-ce pas ?
tu questionnes quand même. ramènes tes jambes sur le banc. se fichant éperdument de la boue.
▬ Si j’avais engagé le combat, je serais mort. tu soupires. Et j’ai pas envie de mourir, V.j’ai plus envie de mourir. Parce que ça aurait servi à rien de me faire massacrer en voulant la venger et de ne même pas y arriver.
des excuses, toujours des excuses. non, tu le penses sincèrement, Sasha. quitte à venger Lyra, tu veux réussir. pas envie de louper cette merde d’Hydre. que Duke se souvienne de ce qu’il vous a pris. pour les siècles et les siècles à venir.
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