(amour t’arrive, la bouche et les crocs que tu montres pour mordiller mais pas la gueule pour le bras l'arracher, pas vers lui. en ça t’es comme lui c’est pour ça qu’il t’aime - dans des reflets impolis, perçus projetés. t'as la jeunesse à qui tout se permet mais à qui ça déplait quand on les remet en place, pour la simple et bonne raison que les autres sont en constant affront avec toi. ou du moins, c'est  ça que tu donnes l'impression de croire - d'ces chiens d'la casse  qui à la moindre approche sont à aboyer. et tes gueulantes il les aime donc à tes accusations toutes lourdes de sens, rhys a ri -
il t’accueille comme l’on s'est perdu mais qu'on aurait pas du. t'es une petite part de lui, à qui on a donné et qu’on fait grandir loin de soi parce que c'est ça responsabiliser, c'est ça aussi t'aimer c'est te lâcher. cette part, dont on ne s’occupe pas - ceux que le temps a arraché et en partie parce que de chez lui il t’a fait sortir
en pestant qu’il etait temps)

cache ta surprise il n'essaie pas plus que ça de défendre sa cause, plus qu'autre chose c'est que love le reconnait dans l'environnement - le rire pris de court, s'éteint lorsqu'il souffle, ça lui rappelle les premières fois à être ici. c'est pas sa place, malgré ce que pourrait en avoir dit heidi (qui lui persuaderait du contraire si elle l'entendait ne serait ce qu'émettre un semblant de souci - comme si, lorsqu'il parlait c'était forcément un problème à régler, ne peut-on pas le laisser ?) rhys croit que parce qu’il y est sa valeur présupposée baisse - le long du quotidien qu’implique salir où l’on vit et donc par extension le 7eme doit l’appartenir parce qu’il se dégrade avec lui. on ne compte plus les cheveux ramassés dans la salle de bain ou les poubelles jetées, les taches qui inondent; ou la tuyauterie bouchée et il était plus du genre bordélique que sale donc forcément ce que n’était pas heidi était sa trace laissée ici.

y’a de sacrés paranos ici, des sacrément tarés dans leurs airs de quelqu’un bien ajusté, ses airs et leurs effets - ça sent toujours bon à en donner envie de vomir dans les couloirs. ces parfums qu’il reconnaît des boutiques aux esthétiques toutes bien pensées pour plaire d'opulence. ils s’étalent dans l’air pour les pores de sa peau et ses yeux abimer. les encens, quand c’est pas les baumes ou le détergent, - le musc et ses floraisons - de mauvais gout parce qu’il préférait les odeurs fines et discrètes, dévouées mais désuètes. ça allait ici, contrairement aux extérieurs, heidi ne laissait son souvenir qu’en feintes erreurs. mais t’en fais pas tu leur dois rien. c’est juste des bouffons qui pètent plus haut qu’leur cul, t’as pas leur temps. faut constamment se justifier, il n’a pas la décence de saluer ceux à qui même il doit sa place ici.
on survit. parce qu’il a l’air, les airs seulement - l’impression vague, comme des mers les vagues qui emportent avec elles sans considération. celles au vécu la propension tant elles se signalent dans le virulent.
les mêmes vagues à leurs pieds chatouillent le souvenir d’eux - quelques propos mornes dans l’espoir de ne pas le voir s’éborgner d’honte. l’attentivité lorsqu’elle est adressée à un mal auto infligé est toujours mal reçue - fils de foyer n’en pensait pas que c’était pour autant mal placé. lloyd souligne le ton qu’on accorde à une forme approximative, comme à quoi on n'adresse pas l’errance, ou la façon dont il s’ancre là devant. c’est pas la catastrophe quoi, s’est sifflé d’attendrissement, et de malhonnêteté.

son sourire il l’a laissé esquisser son portrait, les rides satisfaites devant l’improbable qui teint tes émotions - c’est pas lui ici non mais il s'ennuie et (t'as appelé que tu relèves le gout d'une soirée qui serait certainement morne autrement) - j’t’ai pas dit? j’ai gagné le gros lot. j’suis là d’puis peu. une daronne me met grave bien - j'ai eu dla chatte elle cherchait quelqu’un pour s’occuper d’ses gosses. t’aurais du voir ses prix, ça vaut beaucoup plus que l’taff en garderie. non, libellule remonte ni ne vit ici mais on mesure si t’as le mordant d’autre fois, (celui qui lui écrit que tu croyais qu’il va mourir et que y’a rien qu’il puisse y faire parce que c’est dans ta vision et donc avéré, dans tes veines c'est marqué il est ta malédiction. et la tragédie qu'il s'est causée n’a rien d’éthérée.) fais pas attention à la déco, c’est l'idée d'ma sœur - vaguement guidée d’un bras. elle est là des fois.

ça a ptet pas l'air d'être ça - pour l'instant hein - mais juré, on peut en faire un endroit chill. bail bar néon et ambiance posée, ça va être vachement tranquille. et puis voilà - du moins, lui y croit. tu pourras m'raconter comment c'est d't'on côté. t'as manqué, t'sais ? suggéré, alors qu'il avançait plus loin dans l'appartement.