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Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...

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A little party never killed nobody - Kastiel
Ethel Hays
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Ethel Hays
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A little party never killed nobody - Kastiel Ven 14 Avr - 20:05
Are you  Ready
Ethel est de ceux qui ne refusent jamais une invitation, encore moins de celle adressée par ceux qui ont pu lui taper dans l'œil. Il s’adore dans ses endroits où on le voit, et où l'on laisse une nuit interminable en cachant tout espoir de lendemain.

La proposition n’était pas de lui et cela ne rendait l’occasion que meilleure, bien moins nombreux qu’à Vegas il n’est pour autant pas difficile de trouver ses grands hôtels dessinés sur un casino dans cette ville monstre qu’est New York. Il se fait d’ailleurs fervent de ses endroits, ici le chanceux règne, le chanceux gagne, le chanceux n’a pas de limite car tout n’est que chance, on peut partir d’une pièce de bronze pour finir au sommet des pyramides. Du moins si l’on ne se fait pas trop vite aliéner par chaque possible tentation.. Alors Ethel, vit de cet endroit, y sourit et y rit, tout le monde s’y fait bruyant et lui se fait Roi de cette cour en pagaille.

Alors son apparence l’y ramenait, trop habillé pour ses endroits mais personne ne le lui reprochera, personne n'oserait. Son costume en satin blanc signé ralph laurant d’il y a maintenant six ans reste une option sûre, ne se démode pas, surtout sur ses épaules, ajoute seulement quelques paillettes dorées au coin de ses yeux . Voilà qu’il passerait même pour l’ange de tous ses malchanceux qui pensent dur comme faire qu’ils méritent une deuxième chance, parfois il aurait pu y céder d’ailleurs, trouvait amusant de voir la folie dans le regard de ceux qui semblent gagner une nouvelle vie en quelques secondes. Mais ce soir ses yeux ne sont rivés que sur une seule et même personne, Ellis.

Celui qui avait proposé le rendez-vous, qui avait insisté pour venir le chercher, qui s’était arrêté quelques instants quand Ethel avait passé le perron de sa résidence secondaire.
Ellis est de ces gens qui aiment être impressionnés, qui aiment chérir et surprendre en offrant se trop d’affection.
Ethel lui est de ceux qui adore impressionner, et qui ne se lassera jamais d’être chéri et qui n'attend que les affections pour pallier à tous ses ennuis.

Les portes du casino sont rapidement passées, à eux deux ils ignorent les malchanceux bloqués à l’entrée, ceux qui parieront leur dernière fortune dans l’espoir de leur nouvelle vie. Les deux insouciants préfèrent continuer vers les tréfonds de l’endroit un verre déjà fini avant de s’installer à une table de jeu, de là évidemment ils commanderont le second.
Dieu sait que le blond se languit de ses endroits, il se fiche de tous les stratagèmes absurdes mis en place pour garder chaque client le plus longtemps. Ici vit l'effervescence et il ne fait qu’en revivre. Il se fait chanceux d’une table à l’autre, laisse Ellis s’émerveiller, le dévorer du regard sans pudeur tandis qu’il ne fait que ponctuer leur envie, au fil des jeux on augmente les folies et les promesses absurdes pour cette soirée sans fin.

Le quatrième verre n’a pas le temps d’arriver, les voilà déjà hors des champs de vision des autres parieurs. Ethel se laisse surprendre des qualités organisationnelles de son partenaire sans pour autant sans plaindre. La carte de la chambre sortie de la poche, semble apparaître comme par magie. Véritable tour de passe-passe qui lui fait souffler un léger rire tellement Ellis semble fière. La porte de la chambre se referme au quasi-même instant que le chanceux se retrouve poussé contre le lit. Pas besoin de mots, pas de possibilités non plus à se dévorer du regard toute la soirée, l’un comme l'autre n’en veux que plus. Ethel habille comme Ethel rapide, ses lèvres apposées contre les siennes, coupent leur souffle bien trop vite tandis qu’il s’enivre de ce trop euphorique laissant glisser ses mains vers la taille de son partenaire retirant enfin le surplus de vêtement qui les séparaient.

FB. 2018 Kastiel

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A little party never killed nobody - Kastiel Sam 15 Avr - 3:49


A little party never killed nobody - Kastiel Image-2023-04-15-002222433

a little party
never killed nobody

tw : auto-destruction (basse estime de soi), meurtre, mort (description graphique), violence, cigarettes, tabac.


2018.

bien loin, à l'ombre les néons réfléchissants de l'écriteau du casino, entre deux fumerolles de fumées échaudées échappées depuis les cuisines. non loin d'un tas d'ordures nauséabondes qui dégueulent depuis une paire de bennes trop pleines, entre deux marches d'escaliers ; Kastiel hume une toute dernière fois les vapeurs toxiques, tragiques, sirupeuses, de sa cibiche. entre ses lèvres pleine du stick ; elles s'imbibent, se gorgent, avec cette précipitation ogre, qui se loge en plein poumon. le suc fétide, amer et âpre en colle à ses papilles, accueillis avec une grimace de dégoût et ce n'est qu'une fois fumé jusqu'au filtre cramé, qu'il en délaisse le cadavre d'un mégot anéantis. écrasé sous la semelle en cuir d'une chaussure et puis sa carcasse, vaisseau d'une immondice de vestiges, tout en long membres osseux, noué de muscles élancés, se relève.

parce qu'il est temps de partir. d'y aller. de nouveau engouffré derrière les portes battantes des cuisines, les pas déambulent sous le fumet des jus de viandes, de légumes rôtis, les doigts gantés ajustent le nœud papillon au sommet de son col d'un geste machinal. presque un air robotique gravé sur la trogne, comme concentré, arraché à sa peau d'humain ; kastiel se met en pourchasse, dans ses habits chromés de machine. il s'enclenche plus qu'il ne marche ; alpagué par un acolyte qui lui aura fait don d'un chariot roulant, ainsi que d'un numéro de chambre. les rouages d'un mécanisme archaïque poussent leurs derniers soupirs dans la rouille des veines.

et c'est bientôt, entre les allées marbrées de l'hôtel casino, sous les lueurs malignes des lustres qu'il s'élance. le plateau chargé de victuaille couine et pousse ses ronflements métalliques entre le passage des tapis à l'ascenseur. et sous la symphonie de la musique à peine digeste qui berce l'habitacle, qui aurait de quoi rendre la scène comique, si seulement ses mains ne se seraient pas faufilées dans son dos, à la recherche d'une proéminence ferme. et c'est en apnée, que le regard est fixe, accroché aux portes de la boîte d'acier. ce moment où se déclenche cette sorte de compteur interne, là, quelque part, branché aux ports d'un palpitant devenu bombe à retardement.

d'un dernier air distrait, il relève les pans de ses manches, au défilement des aiguilles qui grimpent sur sa montre. et là, alors qu'enfin s'ouvrent les portes, droit la pénombre d'un corridor ; cette sorte de sifflement s'élève depuis ses lèvres. mélopée dramatique, dont l'inquiétude insouciante, terrifiante, guide ses pas tranquilles. le masque s'effrite, se métamorphose en ce quelque chose de translucide, un visage fantôme de mensonges ; porteur d'élégie.

et puis alors les trois coups sont donnés sur la porte.

« room service. »

la porte est ouverte d'un fracas sur un visage rouge, essoufflé de tout un tas de cheveux en bataille qui se disputent l'apogée d'un crâne et semble-t-il marmonner quelque chose à une silhouette dont il ignore tout, dans son dos, dans la chambre. le prétexte est on ne peut plus parfait, lorsque le demi-chtonien s'élance.

« c'est la procédure habituelle, monsieur. »

sa voix est chaude, maculée d'un sourire muet, poli. et enfin, alors qu'on repousse la porte du bout d'un pied, qu'on le laisse entrer. kastiel s'engouffre à sa suite, en prenant soin de fermer les battants de la chambre dans son dos. et dans de dernières secousses métalliques, le chariot est laissé au milieu de la chambre, l'autre s'apprête à dire quelque chose.

mais dégainé de sous sa ceinture, le silencieux est porté au crâne du type. le coup part le premier. le corps retombe net. rattrapé par la gravité, il s'échoue comme une pomme tombée d'un arbre. son regard est odieux, encore béant, ouvert comme une faille.

et quelque part, avec elle, un bout de lui s'est envolé.

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A little party never killed nobody - Kastiel Sam 15 Avr - 11:25
Are you  Ready


TW : Meurtre et Violences

Ethel se laisse surprendre par l’annonce du room service, pris de court, pourtant il en vient s’en amuser, laisse échapper un léger rire, l’attention le touche est bien plus douce qu’il ne l’aurait attendu de sa part. Finit par offrir un ultime baiser à Ellis avant de le laisser s’échapper de son étreinte.
Quelques instants, le temps de ne plus écouter la conversation, ce qui l’entoure, se laisse retomber dans les draps sans s'inquiéter de sa nudité partielle, ne vois honnêtement pas l'intérêt de réajuster sa chemise pour un inconnu qu’il ne reverra jamais de sa vie, Ethel ne s’est jamais présenté comme pudique. Ce soir il ne se sait que chanceux des jeux déclinés en argent et d’amour, sans prise de tête la soirée au déroulé simple ou la réflexion ne lui est pas nécessaire. Chaque événement se suit logiquement sans sembler se forcer, des alcools aux jetons tous s’harmonisent à son plus grand plaisir. Il se plaît tellement à ses endroits et à ceux qui s’y perdent continuellement.

La détonation;
Celle qui signifie souvent trop de choses, et pour lui elle est trop souvent synonyme d’un passage à l’action, l’initiation de la réaction. Il ne peut y avoir une seconde qui s’écoule quand on lui à appris à sauver des vies. Redressé, raide, il voit cette scène qui se dissimule sous les lumières tamisées.
L’évidence est pourtant là, le corps d’Ellis au sol, et celui d’un autre en face de toi, arme encore en main.

Le voilà mit nu face à cette malchance périodique, que tu n'aurais même pas pu imaginer. Elle arrive toujours de la sorte, quand il s’y attend le moins, quand ses pas semblent déjà tracés, quand son itinéraire à ce trop parfait qui vient le rendre trop vulnérable à l’instant même. C’est ainsi de manière récurrente, ici où là et il ne peut mettre le doigt sur l'origine de cette malchance qui le frappe toujours de la sorte. Face à lui se trouve un monstre, ceux qui se font dans le silence, ceux que l’ont ne reconnaît qu’à l’instant ou le coup est déjà porté, le “trop tard”, quand on dira que “c’est trop tard” et que les victimes ne seront que pleurées quelques instants comme malheureux accident. Ethel se déteste pour cette seule imprudence. Tout s'accélère, le cent à l’heure, le sang qui boue, est-il aussi cible ? Est ce qu’Ellis a encore un espoir quelconque, une survie au mieux ? Tu ne l’as vu que tomber et depuis un silence de plombs retentis dans la pièce. La porte encore close, si tu cries personne ne vous entendra, personne n’aura entendu le coup de feu, personne n’entendra un nouveau coup de feu si un seconde vient à retentir. Tel était la fonction de la pièce, de l’endroit, de se trop parfait dans lequel tu t’étais encore bêtement berné.

Pas un cri, pas une larme, son regard fixe sur l'assaillant. L’attente d’un mouvement quelconque. Ethel ne tue pas, Ethel sauve et protège, avant toute chose, se protège lui-même car se sait plus utile que la plupart des gens qu’il vient à croiser. Il n’y a pas besoin d’un claquement de doigt, ou d’une quelconque autre futilité. Vos places sont échangées instantanément, profite de l’effet de surprise plonger dans sa direction, arracher l’arme de sa main. Que fais-tu ici ? Comment et pourquoi vient-il interrompre sa soirée, et maintenant qu’il peut deviner son visage, qui est-il.
Un nouveau coup de feu retentit, dirigé vers le plafond, calme, sérieux, il brûle. Je n’aurais pas d’hésitation à tirer, alors parle.  
Ethel ne tue pas, il protège, qu’importe les implications qui peuvent en suivre.
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A little party never killed nobody - Kastiel Mer 19 Avr - 0:07


A little party never killed nobody - Kastiel Image-2023-04-15-002222433

a little party
never killed nobody

tw : meurtre, mort (description graphique), violence.

une fraction. une fissure dans le miroir de son regard. et son craquement cristallin. l'instant d'avant, kastiel est encore là ; aux abords du cauchemar dont il se sera fait le spectre. le canon encore brûlant face aux corps qui git au sol dans la flaque d'huile de son ichor. ni justicier, ni bourreau ; la main armée qui obéit aux liasses qu'il soupèse. l'instant d'après, son corps bondit entre une paire de draps défaits. et ses doigts, comblés du métal meurtrier, s'en retrouvent bannis de sa présence. à la place, l'arme est là, empoignée dans la main de celui qui aura survis, en une égide familière, douloureuse, comprimée sous la poitrine comme un cri sans voix.

alors, il est l'un des leurs. c'est sûr. ça ne fait aucun doute.

et la bile des réminiscences monte à ses lèvres ; lui donne envie de recracher le peu d'encas qu'il aura avalé dans la journée. elle se cristallise dans sa gorge en une boule d'angoisse fétide, odieuse. aussi claire qu'à sa réclamation ; tourbillon de son existence, maelstrom d'une nemesis impitoyable, elle se pave, encore, bien loin de l'île maudite, de tout son immense orgueil moqueur. et kastiel prend dès lors des airs d'oreste, rongé par les voix hurlantes, spectrales des furies dans sa poursuite.

et celui dont l'arme retentis d'un coup au plafond se fait cible; logé dans l'œillade noirâtre, mauvaise.

« vas y, tire. »

qu'il lui dit, on ne peut plus sérieux. voir si l'autre aura le cran de l'en braquer à bout portant. d'en faire claquer le canon jusqu'à le rendre fumant. et est-ce sûrement là une ruse, ou peut-être le temps d'en détailler les traits de l'autre. de la pointe d'un crâne aux boucles d'or d'angelot, jusqu'au bleu azuréen de ses orbes. le temps aussi ; d'en saisir une question qui n'a que peu de sens ; alors que son résultat en est déjà escompté. et rampant au sol, entre deux pans de lumières, que les ombres s'enveniment. bras de poussières, de rien, qui viennent à attraper d'un bon preste le poignet, en faire valdinguer aussitôt l'arme.

et dans le bond d'un souffle, de leurs œillades qui s'affrontent, que sonne le gong.
à qui l'en récupéreras en premier.

d'un bond, alors, kastiel s'arrache aux draps. l'atome de leurs mains se fracassent sur l'arme qui fini par disparaître hors de champ, glissant au sol sous une paire de meuble, pour se terrer sous un en fond de pièce, inaccessible. ne reste plus qu'un langage qu'il ne connaît que trop bien, celui des poings.

le corps de son assaillant rattrapé au sol, à ses côtés, s'enclenche cette sorte de mécanisme effrayant en lui. où les limites lui paraissent bien évanescente, disparue d'un fondu au noir, s'engage les premières lignes colorées de la palette ensanglantée du film.

celle de son corps qui lutte contre le sien, de piètres roulés boulets pathétiques, de son crâne qui s'heurte douloureusement à un mur ; la vendetta se solde d'un poing logé dans une joue, de poignets auquel il s'agrippe, que kastiel maintiens là, de chaque côté de son visage, au dessus de lui.

« je crois pas que t'ai bien compris. »

qu'il gronde, d'un souffle qui lui perfore la cage thoracique, de crocs lupins qui claquent dans l'air, d'un immense sourire carnassier qui orne ses lèvres.

« les demi-dieux comme toi, je les bouffe pour le déjeuner. »


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A little party never killed nobody - Kastiel Mer 19 Avr - 19:05
Are youready

Ethel se sait d’une colère froide, lente, des maux que l’on fait glisser sans les laisser oublier, une constante sur qui tombe ou  retombe régulièrement. L’arme au point le dégoûte, il les a en horreur, les évite, préfère ses lames tranchantes aux outils qui laissent oublier l’acte inhumain. Il n’est que trop simple de pointer celle-ci dans une direction, attendre quelques instants avant de resserrer son index sur la gâchette. Aussi simple que ça on anéanti l’autre sans possible temps de réaction, y voit une lâcheté certaine, une mort qui vient en déshonneur.

A ses mots il ne vient  réagir qu’en demi-mesure, quelques instants de plus, le bout du canon est appuyé contre la poitrine du milicien, le geste pas au plus naturel, se suffit pourtant, il ne viendra pas à tirer laisse simplement le poids du canon en rappel à la réalité, il suffit d’un rien. Réponds-moi, ta fierté ne te mènera nulle part. Sans affection pour ceux qui trouvent plaisir à la provocation au jeu d’une vie ou d’une mort.

De cela le face à face lui est dérangeant, l’irrite, il en est certain, le visage n’est pas inconnu sans autant pouvoir en délier le détail. La situation en trop réelle, il est toujours plus simple de condamner en monstre qu’en demi-divin, l’accusation reste la même pourtant ses barrières qu’il a tracé bloque, l’empêche, il suffit de se rien mais ses faits immobilise son offensive, ne se résout pas à une riposte aussi brutale qui ne répond à aucun de ses questionnements.

L’instant se fait de trop, ses pouvoirs ne sont pas étranger, ne lui laisse le temps d’une riposte, l’arme lui échappe des mains, lui fait perdre le plein contrôle de son mouvement. Rien à faire, les ombres sont ce rien qui ne peut être contrôlé par ses propres lumières, opposé total de son être qui lui vole une part de sa mobilité. S’entête, n’attends pas le signal de départ pour s’expulser du lit. Vif, reprendre le contrôle de l’arme en enjeux de l’ascendance, fausse victoire, pousse le mouvement, au plus loin au mieux, il préfère cette arme loin d’eux.

Au vrai combat, celui qu’il connaît bien mieux, celui qui est bien plus noble contre le sol où jonche le corps sans vie de celui qui était censé animer sa soirée, répugne, à s’en approcher puis s’en éloigner. Espace restreint, qu’importent les directions ils se heurtent trop vite, oubli tout le beau ,instinctif sans réflexion, les coups en unique réflexe avant qu’il ne comprenne comment, ou au contraire, il le sait très bien mais n’acceptera pas sa défaite lorsque ses mouvements sont à nouveau restreint. Pause forcée sous le joug de son adversaire. Ethel se doutait ne pas avoir été la cible première, s’énervait d’en être devenue une nouvelle aussi vitre.

Pourtant il sait ses pouvoirs, ne se laisse pas en semi-défaite bien longtemps, le genre de leçon que l’on ne retient pas au premier instant, clôturer ses mouvements de la sorte est inutile, il faut bien voir, il se fait docile, ne cherche pas à se défaire de son emprise. Comme moi ? Tu devrais être plus précis tes mots ne font pas de sens. Sec, sans s’annoncer les rôles s’inverse à nouveau, ses doigts se resserrant sur les poignets du plus jeune, ses mouvements suivis attentivement . Et moi qui pensais que tu aurais changé depuis les années de colonies. Le jugement aux tonalités calmes, le même qu’il adresse à ceux qu’il vient habituellement sauver, sans panique, sans joie, se préfère imperceptiblement à ses situations dont l’issue est encore floutée.

Ta réputation était plus fidèle que je ne l’aurais cru, regardes-toi si bien y faire honneur Kastiel. Très ou trop bonne mémoire le nom est comme craché. Ethel s’était toujours donné la peine de savoir, de loin ou des prés, s’il ne savait pas on l’oublie trop vite, les souvenirs de colonies marquant par leur couleurs constantes. Sans surprise, Kastiel avait cette intensité, le bruit accumulé autour de lui, celui que l’on condense, qu’il avait su faire entendre dans toute la colonie, jusqu’à ce que cela arrive aux oreilles d’Ethel, qu’il se souvienne des détails, qu’il les partagent autour de lui, oh oui, ne lui confiez surtout pas vos secrets.  “Tu sais pas ce que j’ai entendu hier soir… si si je te jure c’est vrai !! Kastiel et Seraph..Si si tu vois qui sait enfin, évidemment que tu sais, Nemesis et Arès, toujours à causer des troubles, oui eux ! Tu ne me croiras pas si je te dis ce que j’ai encore appris sur eux…”
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A little party never killed nobody - Kastiel Sam 29 Avr - 21:09


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a little party
never killed nobody

tw : meurtre, mort (description graphique), violence.


les halos du plafond sont comme deux grands yeux, tout ronds, tout laiteux, dont les particules éclairent les creux et ossements d'un visage à la maigreur inquiétante. et sous le voile des deux flaques huileuses, goudronneuses, de son regard, les cernures pivotent d'un air machinal, jusqu'aux billes azuréennes qui lui font face.

et à trop s'y laisser prendre, Kastiel s'en perd. les grosses gouttes de l'écume frappent sa peau et la cisaillent de ses perles salées, il entend les ressacs qui se perd sur les berges de sable blancs. l'ombre des hauts cyprès dévorent les sentiers de terres blanchies et les oliviers ont la senteur du soleil. une lame de fond qui remonte le long du gosier, ravalée d'un déglutis sourd, la mélancolie est piétinée dans le passage de son œsophage. those blues eyes.

alors le disparu s'approche, d'une traction du crâne, faute de pouvoir faire se mouvoir ses poignets. son visage est une façade froide, bétonnée, emmurée d'un stoïcisme chtonien. et alors qu'on pourrait croire que leurs lèvres sont sur le point de s'effleurer ; n'en résulte qu'un tonitruant coup de tête qu'il assène à celui qui prétend le connaître. plein front.

puis repoussé d'un coup de pied dans le ventre, enfin, qu'il se dégage à sa prise. le dos de la main tracte les dernières gouttes de ses coups à la commissure de ses lèvres. la panique de son prénom balancée est un tremplin sur lequel le vengeur rebondis sans y accorder ne serait-ce plus d'attention que nécessaire. à Nausikaa, il avait brûlé tous ses derniers ponts, avait envoyé son monde se jeter à la gueule béante des flammes de son courroux ; il n'en restait plus des cendres que le vent s'était chargé d'emporté. du rien de rien.

pourtant...

de tous ses membres osseux, aux angles noueux, le demi-chtonien se relève à nouveau sur ses pieds. et à nouveau, les ombres, flaque suffocante de suie, viennent à se saisir du demi-dieu pour l'en restreindre de ses mouvements. filets noirâtres, pâteux, dont l'une, glissée le long de sa pomme d'adam ; restée là sans l'enserrer, comme une sommation. une menace.

pourquoi...

« On a deux solutions ; soit tu me laisse partir tranquillement. »

que s'entonne sa voix, gutturale, comme arrachée au fin fond d'un vaisseau charnel désuet, las, fatigué.

tes putains d'yeux bleus...

un pas, puis un autre. et ce n'est que là, penché au-dessus de lui, que la pointe griffue, osseuse, de ses doigts, viennent attraper son crin.

« Soit, je te bute. »


...me fixent comme ça ?!

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A little party never killed nobody - Kastiel Dim 30 Avr - 19:44
Are you ready

Il ne le lâche pas des yeux, n’a plus ce temps à perdre, n’a pas l’amour des rires, de l’attention douce, celle qui viendrait redessiner chacun de ses traits. Oh non, Kastiel lui est posé en opposé à ses habitudes. Préfère garder ses efforts, son attention sur l’initiation d’un possible mouvement. Il se voyait calme pourtant, ne se définissait pas en mauvaise posture, acceptait une force physique supérieure à la sienne de son adversaire. Comme l’alcool accroché à son sang, étonnement moindre mais à tout de même lui jouer des tours, laisse son regard déconnecter, quelques instants quand l'adrénaline s’échappe, quand le danger ne semble plus immédiat.

Faute, dès le premier coup qui ne fait qu’annoncer le second, qui le projette contre le cadre du lit, ATTAQUE. La douleur rayonne, lui arrache ses cris que l’on devine étouffés, du moment exact ou l’évidence frappe, ou il n’y a que l’évidence d’une offensive, la règle est simple, Il s’empresse, se referme sur lui-même, prêt à donner l’impulsion. RIPOSTE, échoue, la réaction trop longue, ou peut-être que les forces le trouveraient tout de même, qu’importent les temps, il les sent vivante contre sa peau, ou à l’inverse, mortel, la froideur sévère qui laisse la chair de poule.

S’arrête, laisse souffler ses colères.
Ce ne sont pas celles qui trouvent leur source dans les pressions du corps, de son sort qui se scellerait si facilement. Il les trouve chez son adversaire qui n'apprend pas, qui ne cesse de lui faire jouer la même rengaine, valse ennuyeuse, trop vite on se lasse, on s’énerve à vouloir en marcher sur le pied de son partenaire. On s’énerve et le corps chauffe, les bouts des doigts qui ne peuvent s’accrocher à rien, de sa malchance qu’il maudit, leur interaction qui ne se fait qu’en répétition.
Le bleu passe au doré en un claquement de doigt, aux mêmes instances que pour ses pouvoirs, mais celle-ci résonne, à celui qu’il ne lâche pas des yeux, laisse l’instant de doute d’un énième échange. J’aurais pu permuter une nouvelle fois là, j’aurais pu attendre l’instant même où j'aurais senti tes ombres m’étouffer pour relancer le manège, encore. Il pourrait en rire mais le voilà trop agacé.

Pourtant Ethel fait signe de bonne foi, il ne s’échappe pas de l’emprise, finit par laisser un sourire se dessiner sur ses lèvres, il aurait même pu échanger sa place avec quelqu’un d’autre, celui que Kastiel aurait sûrement été plus qu’heureux de retrouver, ou presque ?
Grand malchanceux, il s’en prend toujours aux angelots, ceux qui originellement sont censés être intouchables. Pourtant de l’enfant de Nike à celui d'Arès la ressemblance ne devrait pas se faire, se choque au nom contre aux apparences même pourtant le titre leur est tout de même donné. Allez, lâche-moi, si tu as peur que je te ramène à Nausikaa oublie de suite, j’ai d’autres choses à faire que de m’occuper des gens comme toi. Ses expériences seront remises à plus tard, et puisqu’il n’avait pas répondu à sa question il laisserait en suspens les détails liés à ses classifications. Se plaît à ne plus le quitter des yeux, obligés à lever le menton pour regarder son opposant il ne se prive pas, après tout, il n’y aurait que désavantage à le lâcher du regard, ne pas deviner les prochains mouvements contre les ombres en noirceur qui ne se devine jamais, qu’importe pour cet instant il se fait docile.

Finit par relever ses mains même, se rend. Dans ce huis clos Ethel était de ceux qui avait porté le moins de coups, qui viendrait plaider en légitime défense, qui lève à présent les yeux au ciel avant de pencher sa tête sur le côté, juste assez pour voir Ellis, celui qui n’est plus. Tu vas en faire quoi maintenant ? Tu le laisses là où quelqu'un viendra le chercher et nettoyer ? Le ton se voudrait plus aimable, ne l’est pas. Mais l’absence des intentions de meurtres laisse place aux questions capitales, celles qui incriminent. Il n’y a pas de doute, dans cette pièce, Ethel encore à moitié nu, Ethel qui à passé la soirée aux côtés de cet homme, dont tous les contacts sont encore visibles devient facilement le principal suspect du crime qu’il n’a pas commis.
FB.2018 Kastiel

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