contexte inspiré de la mythologie grecque et de percy jackson
contexte
Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...
tandis que les gens meurent, tu es offert aux vivants. cadeau empoisonné, reste d’existence qui n’aurait pas dû exister plus longtemps. quand certains meurent sacrifiés, toi tu vis dévoré. dévoré par les remords et par la rage, mais tu ne le sais pas encore. tout ce qui vit en toi pour l’instant, c’est un vide béant. c’est un vide cruel. c’est un vide que tu ne pourrais même pas combler si tu l’essayais. père déçu, toi totalement détruit, totalement rongé par trop d’émotions. t’aurais les larmes si brûlantes qu’elles rongeraient ta peau si t’avais pas déjà assez pleuré.
t’as peut-être besoin d’être rassuré. mais pourquoi rassuré zuhair ? des vies perdues c’est des peines. des peines inconsolables, et si tu étais resté à ta place, alors peut-être bien qu’elles seraient consolables. on peut soigner les plaies légères, mais les coeurs vides sont encore plus lourds. la tienne est immense. alors qu’en est-il de celle des autres ? cette soirée que tu devais passer accompagné sera d’une tristesse brutale. tu as entraîné à la mort tout ceux que tu aimais, et qui t’aimaient aussi. et ce soir, tu n’attendais la visite de personne. ce soir, tu crevais sur ton canapé, la mort à tes côtés, la culpabilité assise sur tes genoux. ce soir tu te disais, peut-être n’aurais-je jamais dû voir le jour.
feat. ethel
Ethel Hays
Un parmi les Autres
Messages : 199
Drachmes : 712
Avatar : Luka ( Alien Stage)
Age : 35 ans
Statut : Demi-dieu
Parent divin : Nike
Défaut fatal : Impulsivité
Pouvoirs : Permutation(S), Bénédiction de victoire(S), Porte-malheur(S), Vitesse accrue (C)
Poste et/ou Métier : Traqueur
Particularité : Beau
Notes : (c) me, winnie , duke, kastiel
Inventaire : bâton infini de dédale - sabre
En couple avec : -
Autres comptes : Ethan Jacobs, Mars Tellez, Oz Westwood
Discord : Yes le Sol#1119
Messages : 199 Drachmes : 712 Avatar : Luka ( Alien Stage) Age : 35 ans Statut : Demi-dieu Parent divin : Nike Défaut fatal : Impulsivité Pouvoirs : Permutation(S), Bénédiction de victoire(S), Porte-malheur(S), Vitesse accrue (C) Poste et/ou Métier : Traqueur Particularité : Beau Notes : (c) me, winnie , duke, kastiel Inventaire : bâton infini de dédale - sabre En couple avec : - Autres comptes : Ethan Jacobs, Mars Tellez, Oz Westwood Discord : Yes le Sol#1119
(fb) pleurer les morts Mer 17 Mai - 14:02
Relax le Plexus
Ethel avait la légèreté de l’innocent, à s’inquiéter doucement sans laisser les peines des autres le ronger. Il est si simple de s’inquiéter quand on se décide en traqueur, jour après jour, aux sourires ou aux pleurs c’est bien plus souvent la misère que l’on croise que le bonheur. Il a toujours cet élan d’espoir à votre arrivée en sauveur, à leur vie comme à la vôtre, chacun à son mot d’ordre, lui, s’autorise souvent le suivi au-delà du choc.
Rien d’officiel, et l’on pourrait sûrement nommer cela comme un de ses caprices, s’assurer que lorsque l’on vient sauver ce n’est pas un instant et aucun d’autres. Qu’on perde, qu’on meurt mais surtout que l’on vive il n’y a pas la question d'instant mais d’éternités bien plus grande que l’humain. Ou..Parfois ce n’est qu’un instant et l’on oublie le reste car ainsi certains se disent que tout ira bien mieux bien vite. Ça, Ethel ne l’a jamais connue, juste vue, encore et encore en répétition et aux paramètres toujours assez spécifiques. Empêche une redondance, rend chaque situation plus humaine que la suivante. Ce n’est pas la première fois qu’il se présente au seuil d’une porte inconnue. Sac en plastique retenu du bout de ses doigts clachant à l’habituel blanc qu’il revête si souvent, de sa chemise, classique, simple et chic à son trench au dos fleuri, l’attitude noble sans que le trait ne semble forcé. S’est laissé quelques secondes, vérifiant le nom sur la sonnette avant de pousser le bouton adjacent, lumière à l’intérieur il n’y a plus qu'à espérer qu’il n'interrompt rien, qu’il ne dérange pas, du moins pas trop puisqu’il y a l’évidence de l'imprévue.
ce soir, tu pleurais les morts. ce soir tu avais allongé celle-ci sur tes genoux, tu avais expérimenté la laideur que laissait la culpabilité dans un esprit trop jeune. ce soir tu n’attendais personne, car tout le monde pleurait, les autres n’étaient plus vivants. on t’avait laissé chez les vivants pourtant, comme seul cadeau. on t’avait laissé chez les vivants comme survivant et tu n’en attendais pas tant. mais ce soir tout le monde ne pleure pas. il te faut quelques pleines secondes pour que tu réagisses au retentissement. bêtement tu te demandes qui ça peut-être, tu hésites même. tu ne veux pas de fleurs (tu n’en mérites aucune) tu ne veux ni politesses ni pitié- tu ne veux rien.
tu veux combler le vide seul. tu n’as pas non plus envie de supporter le regard des autres, tout simplement. pourtant va savoir pourquoi tu t’es levé, en gage de politesse. tu as pensé que si c’était un de tes adelphes, tu lui devais bien ça. mais tu as quand même préservé ta surprise en revoyant ce visage. tu ne pensais pas recevoir la visite de quiconque ce soir, parce que tu avais la mort sur tes genoux et tout le monde la fuit comme la peste.
c’est après bien quelques instants à être resté là, muet comme une tombe que tu t’es décidé que le silence devait mourir, lui aussi. je ne pensais pas que tu viendrais. l’avais-tu invité ? tu ne t’en rappelais même pas. tu ne se souvenais pas non plus lui avoir communiqué ton adresse, ni quoi que ce soit. tu ne te souvenais de pas grand chose, seulement le plus douloureux. ce n’était pas surprenant. peu importe, je t’en prie entre. ouvre la porte pour la refermer derrière lui. tu n’as rien préparé, pas même rangé, pas prêt à accueillir. ce n’est pas comme si ça importait, de toute façon. tout était si froid et sombre, tout était si silencieux et presque mort. aujourd’hui était morne et demain le serait sûrement aussi.
feat. ethel
Ethel Hays
Un parmi les Autres
Messages : 199
Drachmes : 712
Avatar : Luka ( Alien Stage)
Age : 35 ans
Statut : Demi-dieu
Parent divin : Nike
Défaut fatal : Impulsivité
Pouvoirs : Permutation(S), Bénédiction de victoire(S), Porte-malheur(S), Vitesse accrue (C)
Poste et/ou Métier : Traqueur
Particularité : Beau
Notes : (c) me, winnie , duke, kastiel
Inventaire : bâton infini de dédale - sabre
En couple avec : -
Autres comptes : Ethan Jacobs, Mars Tellez, Oz Westwood
Discord : Yes le Sol#1119
Messages : 199 Drachmes : 712 Avatar : Luka ( Alien Stage) Age : 35 ans Statut : Demi-dieu Parent divin : Nike Défaut fatal : Impulsivité Pouvoirs : Permutation(S), Bénédiction de victoire(S), Porte-malheur(S), Vitesse accrue (C) Poste et/ou Métier : Traqueur Particularité : Beau Notes : (c) me, winnie , duke, kastiel Inventaire : bâton infini de dédale - sabre En couple avec : - Autres comptes : Ethan Jacobs, Mars Tellez, Oz Westwood Discord : Yes le Sol#1119
(fb) pleurer les morts Mer 2 Aoû - 16:04
RelaxLe Plexus
Zuhair a les yeux rouges, le teint pâle, il a le portais évident de celui qui à subit un drame trop grand pour son être. Détonne alors du profil presque trop lumineux d'Ethel, face à face dissonant, de la chaleur de ses traits qui s'invite dans la vie de son interlocuteur sans lui avoir demandé son avis, se dit simplement qu'il aurait aimé trouver cette présence si les rôle s'échangeaient, qu'ici Zuhair est seul. Il faut la place, le temps, mais il ne faut trop de place non plus, de là se forme le vide, et le vide est terrifiant.
Je n'avais pas prévenu c'est de ma faute, merci de m’avoir laissé entrer. Se défait de tout mensonge, n'aurait pas été triste de devoir faire demi-tour mais y aurait trouvé un pincement léger bien qu'il n'aurait pas non plus pu aller à l'inverse de sa décision.
Se faufile à l'intérieur de l'appartement, retire ses chaussures dans l'entrée pour les poser à côté des siennes avant de tendre le sac vers le maître des lieux. J'ai ramené du curry si tu as faim, c'est un nouveau resto à New York je saurais pas dire si c'est bon mais les retours qu'on m'a faits de l'endroit sont vraiment bien. Amorce la conversation de la plus simple des manières, profite de ne plus avoir les mains pleines pour retirer son manteau, le pose simplement dans l'entrée, préfère ne pas se faire trop habillé, paraître comme une sorte de figure officielle. Enfin, tu peux le garder pour plus tard si tu n'as pas faim maintenant.. N'impose rien ne serait-ce qu'être sûr qu'il ait un repas simple, sans trop d'efforts à portée de main. Est-ce que je pourrais juste te demander un verre d'eau s'il te plaît ? Et après ils pourront s'asseoir dans le canapé, où à la table qu'importe, si l'on veut parler du tragique on préfère être assis plutôt que debout au seuil d'une porte, et si l'on ne préfère pas il est bien plus conventionnel d'entamer une discussion dans un minimum de confort. Oui, voilà ce qu'Ethel souhaite offrir du mieux qui le peut ce soir, du confort.