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Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...

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Him (David + Dionne)
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Him (David + Dionne) Mar 26 Sep - 22:15

.
.

Tu as toujours su dire adieu, cela était du langage usuel parmi les enfants des dieux. On disait Adieu, célébrait la vie du défunt avec les bières faites des ferments du demain et on attendait que le temps apaise les plaies.

On s’attendait à mourir chaque jour de nos vies, tu le savais. Tu avais dis Adieu à ta mère, ta vie de mortelle, tes amis, ta liberté car dans l’absolu sacrifice luisait toujours la féroce vigueur de ton identité.

Tu étais Divine de Guisé, tu étais la Seule et l’Unique.
Tu étais aimée par la plus splendide des guerrières,
toi-même.

Et devant les paupières cousues d’Arthur, tu ne ressentais plus cette certitude.

Ta main épousait sa joue, caressait les contours de son faciès, traçant dans les vallons de sa jeunesse éternelle les reflets de sa fragilité. Tu l’avais épousé une fois et tu aurai pu l’épouser deux fois, tu aurai pu offrir tant à cet homme mais au final, tu ne lui as offert que la fin.


Tu avais tué ton mari, Divine de Guisé.
Tu avais souillé les seuls voeux que tu lui avais offert,
tu as détruit le foyer de tes enfants, le futur de tes rêves

Parce que tu étais faite pour combattre et non pour aimer. Tu l’avais sorti de l’île, tu l’avais tiré de sa routine parce que tu voulais montrer la gloire de ton nom et la puissance que tu lui offrais à chaque jour, tout entier.

Tu avais tué Arthur de Guisé par deux fois.


Tes lèvres frôlaient le front froid, il ne semblait pas dormir. il semblait s’effacer, se dissoudre à chaque inspiration. Les endormis possédaient ce brin d’eux, cet esprit certain qu’un jour ils pourraient revenir. Mais les morts sont vides de tout, les joues s’affaissent et il ne restait que ce masque rigide de chair.

-J’aimerai pleurer pour toi, tu as toujours été celui qui pleure. À notre mariage, tu as pleuré. À la naissance, tu as pleuré. Comment tu faisais ?


Il ne lui a jamais appris.
Peut-être était-ce cette fierté crade embourbant tes yeux, cette sensation que tu ne devais pas pleurer car tu avais déjà tant à faire que la faiblesse n’était pas une émotion mais une épreuve.
Tu n’as jamais su demander à l’aide.


On entre dans la pièce, on demande à ce que tu sortes.
Les derniers soins, les dernières prières, on brûlait son corps comme il l’avait reclamé.
Tu avais laissé dans le brasier les traces de ce qu’il était.

Les épées et les bijoux, les lettres et les peintures, les rêves et les espoirs d’une vieillesse commune. Tout devait brûler. Tu sortais le drachme de ta poche, le portait à tes lèvres et tu voulus embrasser.

Mais les lèvres ne se pressaient pas.
Tu l’avais tué.
Un meurtrier pourrait-il bénir sa victime?


Tu appuyais la pièce contre ton front, la tendant au prêtre et tu partis.
Sans un regard pour la marionnette que fut ton époux car son esprit était la chose que tu avais aimé. Dans les couloirs, le silence régnait. Nul n'était là car tu l’avais désiré. Le miroir face à toi ne montrait pas que la femme que tu avais réussi à construire, tu étais pitoyable.


Pitoyable.
Comme l’enfant aux pieds lourds et à la voix bruyante, courant à travers la boue et les marais, pleurant pour un rien.
Pitoyable comme la femme que tu voyais là, la mine lourde, la pâleur d’une fatigue, les cheveux aplati et ternes, le regard ayant vu milles blessures.

Affalée au milieu du siège, ta gorge vacillait doucement, les eaux commençaient à monter.
Et un bruit de pas tirait la misère de ton regard. Tu te redressais, tiré les derniers fils de ta fierté d’absolu pour te rendre souveraine.

Ce fut Dionne.

-Dionne…

Les questions et les réponses se bousculaient avant de mourir.

-Je suppose que faire préparer le corps d’un enfant d’Hébé à l’endroit où les enfants d’Hébé viennent passer leurs dernières heures n’étaient pas la meilleure idée en terme de discrétion.

Ta voix te semblait désincarnée, lointaine.

-Tu as laissé les enfants à qui?


Car tu ne les voyais pas.
Peut-être que Don les avait.
Tu n’arrivais plus à te soucier.


Ť̵̻̗̲̦̝̤̘̎̄̉́̍͂̿̈́̅Ǘ̵̝̖͙̙͉͇͂̿̈́̽ ̸̨̢̧̛̪̥̠͇͇̣̜̜̇̽̄́̐͒̍̊͛̒̃̈́͠ͅͅL̸̥̥̥͛'̷̨͍̠̩̤̪͋͑̈́͝͝Ḁ̷̮̹̿̅͒͆̋͛V̶̨̦͔͖̤͖̞̬̦̼͂̈̊̿̏̎̃̀̚͠Ă̸̟̖͇̯͇͓̗̻̦̄͋̑̏̕͜İ̴̡̲̠͓̰͕̯̬͙͌̇͋͂̍́͝͝S̶͉̰̺̲̤̝̪̞̲̃̈͒͐́̓̀ ̸̧̢̬͇̗̟͉̙͓͐̈́̔͋͝Ț̵̢̬̹̤̦̮̺̤̖̫̮̞̍̈́͊̍̂̇ͅƯ̸̬̤̭̘͎̭̹͇̾̇Ę̷̩̼̼͙̱̝͕͖͙̺́͗̆̀́̈́ͅ


 
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Dionne Zarachiou
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Him (David + Dionne) Jeu 28 Sep - 4:49
shadows settle on the place that you left, our minds are troubled by the emptinessC'est souvent ce qu'on dit des morts : ils n'auraient pas aimé toute cette tristesse. La latence hors du temps liée au deuil, les visages froissés mais cérémonieux, le noir, le noir, partout - c'est un peu cliché, toute cette tristesse. Pour autant, Dionne ne la retient pas.

Mais elle sait qu'Arthur n'aurait pas aimé toute cette complexité silencieuse, et elle se dit que c'est peut-être pour cela qu'il voulait être brûlé ; c'est pour disparaître, pour ne pas que les chairs pourrissent dans le coeur des vivants. Et ce souhait a fait peur à Dionne car cela voulait dire qu'il savait qu'il allait mourir.
Aux enfants d'Hébé Dionne leur fait la promesse : tu ne crains rien si tu fais attention,
Si tu aimes ton prochain
Si tu te disciplines,
Si tu restes sage et tendre, si tu remercies la vie
Tu n'as rien à craindre - car je suis là. C'est ce qu'elle leur disait.
La mort d'Arthur lui a fait mentir, a fait mentir les pactes, a fait mentir la dévotion pleine et soumise, a fait remettre en question comme elle a vécu jusqu'ici, les mains liées par une promesse cruelle.

Dionne a cru à son tour mourir de rage. Le sacrifice de sa sincérité, l'apaisement qui vient avec l'angoisse latente et perpétuelle de se savoir traîtresse - tout cela pour qu'il meurt. Le jour de sa mort, Dionne s'est effondrée. Le jour de son incinération, elle a dû se relever. La vacuité a vaincu mais il y a toujours des vivants à protéger, des dieux à prier, des monstres à craindre. Il y a toujours Divine et ses enfants, il y a toujours Don, il y a toujours David - il y a toujours ses adelphes, il y a toujours la responsabilité, la jeunesse insolente de son visage - le noir de sa robe qui n'y sied pas, un noir trop connu, parce que ce n'est qu'un mort de plus. Et que la liste ne s'arrête pas, cela lui est insupportable.

Elle lui avait promis de s'occuper des petits, avec Don. Elle s'était dit que cela lui ferait du bien, de les perdre dans les champs de vignes et dans les champs tout court, mimer le printemps comme on mime la vie qui s'en est allée ; elle a toutefois rebroussé les chemins avec la promesse de revenir bientôt pour honorer les morts et s'occuper des vivants.

Parce que l'amour qu'elle porte à Divine est aussi infini que celui qu'elle porte à Arthur ; elle lui disait toujours qu'il était chanceux d'être aussi bien aimé et elle se gonflait d'une fierté pleine d'avoir aussi bien éduqué ce garçon au sang maudit - le leur -
Parce que quand elle la trouve, assise, elle ne résiste pas à sa pulsion primaire de courir jusqu'à elle pour l'enserrer dans ses bras, son menton au-dessus de sa tête, avec vitalité. Divine, mon amie, Et elle sent son coeur à elle qui bat plus fort, il lui semble qu'elle aime Divine comme Arthur l'aimait. Elle lui dédie la même passion, dans le chagrin. Dionne discerne de l'amour dans toute cette tristesse, qu'elle n'étouffe pas mais qu'elle ne prononce pas : il n'est pas question de sentiments égocentriques, aujourd'hui. Un frère est mort. Un mari est mort. Un ami est mort. Alors elle l'aime avec pudeur, comme une soeur. je suis désolée. J'avais besoin de le voir et de te voir toi. Ils sont avec Don, je suis désolée - je n'ai pas tenu ma promesse - Elle la serre encore et se laisse tomber à genoux devant le siège pour lui prendre les mains, regarder ce visage fatigué de femme tuée en même temps que cet amant. Quelque chose s'est éteint. Dionne se met à pleurer de grosses larmes qu'elle ne retient pas en avisant Divine - c'est la première fois depuis qu'ils ont annoncé qu'ils ont retrouvé son corps.
Je les ai laissés avec Don, et je lui avais promis qu'il ne mourrait pas comme nos adelphes auparavant - je n'ai pas réussi à tenir mes promesses, pardonne-moi. J'ai besoin de toi.
Elle lui dit,
J'ai peur que tu sois seule.
Cela veut dire : j'ai peur que tu te laisses mourir de chagrin. Que tu oublies comment ressentir. Elle renifle et n'essuie pas son visage, n'a pas de pudeur pour la famille, surtout pas Divine,
Tu sais que c'est pas de ta faute, hein ?
Et puis,
J'ai demandé à David de venir.
Parce qu'ici il fait tout noir. Arthur a pris la lumière avec lui.
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A. David Feuerbach
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Him (David + Dionne) Dim 8 Oct - 21:49

❝ Religieuse souffrance ❞


Il n’aime pas les enterrements.
La plasticité de cette pensée manque de le faire rire, lui donner envie de se moquer : du cercueil, des présents, d’eux, d’elle mais surtout, surtout de lui.

Personne n’aime les enterrements.
David les exècre particulièrement ; peut-être car il se souvient des siens qui n’y ont pas eu le droit, peut-être parce que le funèbre est une teinte jurant avec l’insolence de sa jeunesse, qui rendait le noir de son costume méchant et cruel.

La mort ne va à personne, mais surtout, elle complique les affaires des vivants.
Car c’était ce que pensait David, que les enterrements sont les affaires de ceux qui respirent, que les éteints ont déjà passé le styx, abandonné leurs anciennes vies et leurs souvenirs.

Dionne s’effondre et David a envie d’en faire autant. Dans le contour familial, il reste le garçon aimant, le jeune aux allures de guerrier, de fierté timide qui courait sur ses joues pourvues des premières traces de la vieillesse.

Il pleure en silence , des larmes qui sont centaines - parce qu’il a connu Arthur depuis si longtemps que le savoir mort éteint une étoile de son monde, parce que déjà il oublie les contours de son visage et il ne le voit plus que dans ses enfants.

Et il pleure de l’être perdu, des mémoires brisées, de la famille en morceaux.
Il pleure.
Mais ne trouve pas ça injuste.
Il laisse l’injustice pour plus tard, pour ses nuits froides ou il serait seul et ou il ne travaillerait pas.

Par terre, il s’asseoit, contre Dionne, contre Divine. Dans un cocon fait pour supporter leur deuil.

Je suis désolé.

Et c’est tout ce qu’il peut dire.
David ne pouvait pas ramener


[DIVINE ET DIONNE] - [AVANT]

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Him (David + Dionne) Sam 4 Nov - 23:50

.
.

Tu n’avais jamais aimé les veuves de noirs revêtues, les ombrageux gémissements de ceux demeurant à l’arrière. Toujours en vie mais souhaitant avec désespoir ne plus l’être, tu avais toujours rejeté tes cheveux à l’arrière et offert à la vie tes dents aiguisées et cette promesse que tu avais faite à ton âme de vivre.

Vivre, vivre, vivre
Par trois fois tu te répétais quand Dionne venait à toi. Quand Dionne offrait à tes yeux éteint le pâmoison de ses bras, elle s’accrochait à toi larmoyantes. Elle n’était pas ainsi d’ordinaire, tu voulais prendre ses joues entre tes doigts et lui demander pourquoi gâchait-elle ses perles salées pour ces choses ? Et tu ne pus lui dire, tu ne pus parler. Toi qui savait décrire le putride destin des cadavres, toi aux mains jamais lavées du sang des tiens, toi face au destin, comme l’unique.


Tu ne pus parler. Recueillait les larmes et les vœux de Dionne entre tes bras, frêle créature que tu ne savais pas comment serrer contre toi. Elle te paraissait si petite, si grande, si réconfortante, si désolante.

Dionne n’était pas l’oiseau blessé aux ailes écrasées,à la mine dévastée.
Tu l’étais.

Dionne te rappelait par ses mots que tu étais désormais que la moitié perdue, la femme sans mari, tu devenais la plaie putréfiée, le malheur ordinaire. Et Divine, ô Divine, tu ne souhaitais même plus te rebeller contre cet état de fait.


S'il pouvait exister en toi, un instant de plus, s'il pouvait t’aimer une fois de plus, tu supporterais cette tristesse sans façon, tu supporterais les années à venir où ton corps se languirait pour le rejoindre, ou ton âme éclatée par son manque s’étouffera. Ton menton fier devenait tendre, tes yeux dans ceux d’éternité de Dionne, ta main sur sa joue, le pouce balayant timidement ses larmes, gauche et maladroite Divine.


-Merci d’être là Dionne, merci pour tout.


L’arrivée de David suivait le verbe et tu n’eus le temps de composer ce visage, cette sérénité tranquille qu’il était là.

à tes côtés,
à te tenir
dionne te tenait aussi.

Et tu voulus rire.
L’image était si comique!
L’image!
Toi!
Meurtrière!
Toi à te complaindre dans la peine que tu avais crées!
À te faire tenir par des êtres nobles!

Divine!

Tu ris, violemment, méchamment, salement, tes éclats de joie comme la parjure du sacré entre les murs du dernier repos.
Tu ris plus fort que tes sanglots venant, tu ris les yeux révulsés et les babines pendantes. Tu ris! Il te semblait que ton être entier rentrait en deuil.


-Je mérite d’être seule, je le mérite.


Ta culpabilité enflait.
Ton rire crevait.

-Il n’était pas fait pour le combat, il était fait pour…être heureux. Pourquoi je lui ai infligé de me marier ? Il aurai pu se trouver une nenette adorable, une fille de valeur, une fille comme lui, qui aime dormir tard le dimanche, qui aime les enfants, qui aime la vie simple, je lui ai infligé moi. Je ne mérite pas votre affection, Dionne, celle qui par le mariage fut ma soeur et celle que je considère comme plus. David, mon frère. Je mérite votre opprobre, empêchez moi de partir, brisez moi, rappelez moi tout ce que j’ai amené à la mort.

Tu ne ris plus.
Tu les contemplais avec la fermeté d’une femme prête à être condamnée, il n ‘y avait pas pire punition que d’être haie par ceux qu’on aimait de trop de ferveur.  
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