contexte inspiré de la mythologie grecque et de percy jackson
contexte
Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...
Messages : 193 Drachmes : 721 Avatar : link, the legend of zelda Age : 35 ans Statut : demi-déité Parent divin : déméter Défaut fatal : la résolution Pouvoirs : chlorokinésie (s), contrôle des araignées (s), phytomorphose (a) géokinésie (c) Poste et/ou Métier : chercheur-euse Particularité : brumiste Notes : avatar : art par @ico_ovo (twitter), @poscipeep (twitter), @_tairou (twitter), @feriowind (twitter), @dustjoule (twitter), @renjianshilian0 (twitter), @tagzpite (tumblr), @artsyvampp (twitter) Inventaire : stylet de procuste En couple avec : justice Autres comptes : winnie, garance Discord : me mp Gif :
s'il n'y avait qu'un être (mielikki galant) Mar 10 Oct - 22:13
tw stalking
Tief im Wald Da sind die Mädchen Vorsichtig die Sind kein Märchen
Tief Im Wald, Kiki Rockwell
les jours sont beaux -c'est là toute l'illusion offerte, voulue, cherchée winnie m'a bien accueilli-e, les autres aussi, c'est que c'est intéressant de voir ainsi les liens du sang : étalés sur la plage, entre crabes et coquillages, serpentant entre les grains, cachant les couteaux et les fleurs pour pas que le soleil ne les voient, pour pas qu'aucun des deux ne fanent ; il y a dans cette ambiance étrange un détachement de ma part, de justice aussi, nous ne sommes là au fond que pour nous, et cela se voit je crois sur le temps que nous nous donnons uniquement l'un-e à l'autre nous ne sommes là que pour nous et pour le calme je n'ai que deux semaines, après il faudra retourner au charbon ; et pourtant même ici je veille, j'observe, je note, et toi je te vois mielikki. je t'ai vue déjà avant alors que je lézardais sous le parasol ; j'ai relevé mes lunettes de soleil mais tu ne m'as pas vu-e parce que la brume te l'a interdit, et j'ai caressé les cheveux de junhao en regardant le moindre de tes mouvements je t'ai vue déjà avant alors que je venais chercher de l'eau au robinet ; j'ai dit bonjour avec un sourire et j'ai décortiqué toutes les réponses de ton corps, et j'ai noté comment tu as répondu aux autres aussi, et la sympathie m'a irritée parce qu'elle me rappelle ma comédie je t'ai vue déjà avant alors que j'étais allé-e courir, faire le tour de l'île ; de là-bas, loin, j'ai observé tes actions quand tu te croyais seule en tout bien tout honneur, mais tu n'as rien fait à part cuisiner et sourire et rappeler à toustes de ne pas se mettre en danger je t'ai vue mais je n'ai pas compris pourquoi tu as choisi luther. il n'y a avec toi que les livres et les rêves, on dirait, et du haut de mon rocher je n'aime pas me sentir moins important-e que toi, moins malin-e que toi, moins utile que toi. alors, le lendemain, je me lève plus tôt presque aux aurores, comme toi tu es, bien sûr, dans la cuisine ah, bonjour, je ne m'attendais pas à croiser quelqu'un de si tôt il faut que je fasse attention aux mensonges -je connais les enfants d'hestia : alors c'est vrai, oui, je n'étais pas certain-e que tu sois là, et c'est une victoire que tu t'y trouves ah, ça doit être l'abondance de niké dans la maisonnée. tu utilises la cuisine ? c'était une question stupide, et je joue alors cellui qui hésite, qui n'a pas encore trouvé sa place dans la grande famille de son petit copain ; le sentiment est véritable : je me retrouve perdu dans les choix du dragon. je demande parce que je voulais, hum, faire quelque chose pour justice -il dort encore, mais il ne ... il ne mange pas trop. alors, voilà. j'utilise toujours la vérité pour amener mes oreilles là où elles se doivent d'écouter. enfin, je vais essayer, surtout ! je ne suis pas très bon-ne en cuisine. à vrai dire, j'ai commencé après qu'on se soit mis-es ensemble. je ris, et ma main gigotte en l'air pour dire : je vais faire de mon mieux, et puis sinon tant pis ; c'est les vacances, après tout, enfin, je veux pas te déranger, sinon je viendrai demain. je m'approche, prends un verre, hésite -tu veux un verre d'eau ? interrompt le mouvement. observe. en attente de réactions.
Messages : 151 Drachmes : 568 Avatar : Qiu Tong (Tamen de Gushi) + Emily Alyn Lind Age : 25 ans Statut : demi-dieu Parent divin : Hestia Défaut fatal : Empathie Pouvoirs : empathe (s), lecture de souvenirs (a), pacification (b) Métamorphose loutre (c) Poste et/ou Métier : Bibliothécaire Particularité : Aucun TDAH Notes : - Inventaire : Bâton de Dédale En couple avec : - Autres comptes : Divine de Guisé Discord : Alya #2406 Gif :
s'il n'y avait qu'un être (mielikki galant) Jeu 2 Nov - 23:10
Do you hate me
Que ressentait-elle ? Dans les sourires de Winnie et des siens, elle ne voyait que la tendresse éborgnée de ceux ayant trop subi, elle voulait lui dire quelque chose, lui annoncer qu’elle partait.
Loin. Pour toujours sans doute, mais elle n’y arrivait pas. Elle restait là, auprès de lui, à voler la chaleur de son foyer, les yeux pleins de cette mélancolie dont elle était la seule coupable.
Chaque jour sous le soleil était un jour où elle se flétrissait et rayonnait, parfois, elle sentait le long de son dos ses yeux de colère et elle redressait ses manières. Parfois tu voyais les lames rocheuses, amassées comme ces petits oiseaux le long des gouttières, à atteindre que la pluie s’abatte pour satisfaire leur soif.
Les rochers avaient soif de sang, Mielikki. Mais elle se reculait bien vite, serrait ce mouchoir entre ses mains et prévenait ceux se rapprochant de trop.
Ses journées dans les livres à tremper ses pieds, à danser sous le courroux d’un soleil indulgent et à rire. Elle n'a jamais autant ri.
Puis un matin, le ciel tirait vers ce bleu landau, ce bleu trop sincère et les poêles cliquetaient dans le silence de la maisonnée. elle faisait à manger pour un régiment. Elle ment. L’armée venant pour la tuer, pour tuer Luther, elle les nourrissait de son amour, des plats maîtrisés. Mielikki ne savait pas ne pas aimer et cela était fatal.
Une maladie dont on n’inventera aucun remède.
Puis un sursaut, le ciel n’est plus si bleu quand iel rentre dans la pièce. Ses yeux sont remués, fatigue transparente qu’elle ne niait pas. Ses lèvres serrés en un sourire, elle l’accueillait, le laissait venir.
-Bonjour Solan, désolée, je voulais faire le petit déjeuner pour tout le monde, j’espère que je ne t’ai pas réveillé.
Iel parle, s’anime de cette candeur toute douce des gens s’aimant et elle le ressentait de toutes ses pores entrouvertes. Elle sentait cette curiosité de la savoir là, cette joie curieuse de la savoir là. Et elle ne dit rien, les yeux baissés, Solan n’était pas un être de sa connaissance.
Iel pépillait encore, ses intentions de nourrir son aimé lae rendait presque adorable et elle lui souriait. Mielikki sentait la honte rougir ses joues d’avoir ainsi réclamer la cuisine à elle-seule.
-Oh non, c’est ma faute, je n’aurai pas tout accaparé l’espace. Laisse moi ranger et nettoyer, tu auras l’espace. C’est tellement adorable, puis-je t’aider à quelque chose? Si tu as besoin d’une assistance, je serai ravie de te rejoindre ce service.
Et elle s’affairait, désirant rien de plus que ne plus être.
-je veux bien un verre d’eau, tu peux le poser à côté. Ahahah, il fait si chaud, on en a bien besoin n’est-il pas?
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s'il n'y avait qu'un être (mielikki galant) Jeu 23 Nov - 22:34
tw stalking
Tief im Wald Da sind die Mädchen Vorsichtig die Sind kein Märchen
Tief Im Wald, Kiki Rockwell
les jours sont beaux ils le deviendront plus encore -j'en suis certain-e, mais la question est : pour qui ? je regarde ta personne et la banalité m'envahit, il paraît que ta singularité vient de ton cœur, mais que fait-il d'autre que de battre et d'aimer ? moi je fais tout pareil déjà et peut-être, me dis-je, qu'il n'en faut pas plus pour que luther s'entiche. voilà une pensée funèbre, mais j'ai de toutes manières une cape de brume et des fantômes dans mon sillage alors je te regarde et tes cernes me semblent stupides, hors de toi : je t'ai enlevé l'humanité dont tu es pourtant faite, toute entière, parce que pour moi tu es monstre saint georges de mon dragon, il suffit de changer de perspective jamais tu ne sera luther et moi je nettoierais mes écailles pour mieux lui ressembler plus lui plaire, peut-être. pourtant dans l'aube qui nous lie aujourd'hui, je pense à un autre, et c'est là les failles que tu exploites : les tiennes, quand tu te donnes aux causes charitables, même celles déjà perdues ; sais-tu dire non ? peut-être est-ce là le moyen de provoquer ta perte non, non, continue ! c'est suffisamment grand pour être là à deux. la villa était après tout immense, et l'enchaînement des pièces regorgeait de recoins qui me plaisaient je peux apprendre en te regardant. je voulais faire une omelette, peut-être avec quelque chose dedans, je ne sais pas -il faut que je vois ce qu'il y a dans le frigo. l'eau coule et rempli les verres -j'abandonne le tien, comme demandé, sur le bord du plan de travail. qu'est-ce que tu en penses ? quelque chose de réconfortant. pour les drames commis pour les vies prises et pour celles qui ont failli y passer qu'as-tu à dire sur cela, miel ? luther n'est pas différent : il mange tout comme nous que peux-tu faire contre le destin ? même les déités ne sont rien face à elle mais, comme tu dis, pas trop pesant non plus, au vu de la chaleur. celle que je ne sens pas, abrité-e sous les toits, les climatiseurs soufflant à chacun de mes pas. je prends une gorgée d'eau.