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Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...

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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Jeu 25 Jan - 20:29
never wanted to dance with nobody but you wouldn't take no for an answer, you fuckin' b*tchLe choix de chez toi n'est pas irréfléchi. Qu'y'a-t-il de pire que celle qui tente de se dissimuler ? Qui tente de ne pas faire de bruit pour disparaître des radars qui sont partout - je n'ai pas à avoir honte de venir te voir. Je n'ai pas à avoir honte de toquer à ta porte. Mon innocence est partout et toi tu devrais être nulle part. Mais tu ne cesses pas, on m'a dit qu'encore la semaine dernière tu parlais de moi sans vraiment le faire et je sais à quoi tu joues, je sais de quel bois ignoble et pourri tu es fait - tu fais exprès de ne presque rien dire car c'est ce que font les coupables d'un crime dont il serait délicieux qu'il soit rendu coupable. Il n'y a que les hommes qui y gagnent dans ce genre d'histoires : trompés, trompeurs ou complices - tu seras déclaré innocent et moi toujours coupable d'un crime que j'ai commis il y a plus de quatre ans. J'ai de la haine coincée entre les dents et la mort comme fantasme quand il est question de toi - loin sous les jours où je rêvassais d'un amour, même pour de faux, et de l'accomplissement d'une potentielle union. J'ai compris trop tard que les hommes toujours seuls aussi tard ont souvent quelque chose à se reprocher.

Elle a toqué à dix-neuf heures, jolie comme un coeur. Elle a fait le long chemin depuis Manhattan, sertie de perles et le manteau d'hiver en fausse fourrure colorée conséquent dans les bras, le climat bien plus clément par ici qu'à New York. Elle a laissé mari et enfants pour ce soir avec une fermeté si quotidienne, si casuelle, qu'il est difficile d'imaginer qu'elle est pour se défendre d'une adultère émotionnelle de plusieurs années déjà. Elle a toqué, trépignante dans ses bottes plates, brillante dans son haut iridescent, paillettes dans le coin des yeux - lumineuse comme toujours, dans son plastique et ses bijoux.

Alex ! C'est une salutation comme un sifflement de serpent, pas d'étreinte ni de sourire, elle le foudroie déjà du regard, contemplant sa peau lisse et jeune, sa silhouette longiligne qu'elle jalouse - la jalousie lui crevant la bouche. Elle veut détruire ce visage. Je suppose que tu sais pourquoi je suis là... Libellule a croisé ses bras, pas encore entrée qu'elle attaque déjà - aujourd'hui elle ne fera que le mordre sans cesse.
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Alexander L. Anderson
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Jeu 25 Jan - 21:40
elle s’est invitée, reine — comme elles prétendent toutes l’être — dans ta vie à nouveau pour y retrouver un trône que tu t’es amusé à lui promettre sans jamais lui céder. peut-être libellule aimait-elle trop que tu l’aimes en apparence pour que le temps ne tue ton souvenir. tu avais été surpris, et même content, qu’elle se décide à venir récupérer les miettes d’un bonheur que tu avais habilement disposé de part et d’autre de sa tête pour qu’elle finisse, inéluctablement, à vouloir le détruire pour ne plus jamais le désirer.

du moins tu étais convaincu que sa venue était synonyme d’un amour qui se dépoussière à coup de baisers interdits et regards de colères.

et tu n’avais pas tort pour la colère.

habillé de ta jeunesse éternelle, plus juvénile encore que celle que tu arbores au quotidien tu voulais que libellule retrouve dans les traits lisses de ton visage ce jeune homme insolent qui savait la rendre folle ; et de cette drogue (tu penses) elle ne pouvait s’en passer. mais dieu que tu ne comprends rien aux femmes.

tu ouvres la porte quand elle s’annonce à 19h, la laisse découvrir derrière toi les lumières timides, le discret piano qui se fait maître d’orchestre et l’odeur enivrante d’un délicieux repas chaud. tout est organisé pour soutenir la perfection dont tu penses être le détenteur mais personne n’ignore (tu t’en es bien chargé) que sous ta peau délicieusement tannée il ne reste qu’une drôle de carcasse vide.

et voilà ! ses pupilles de haine pour te faire roi de ses maux. elle t’avait manqué pour cela. personne ne te résiste avec autant de beauté et de rancœur comme elle le fait. tu écoutes ses attaques, songes à te pencher pour embrasser sa belle joue mais seuls ton regard trahi ta tendresse, car tu retiens tes gestes.

« j’ai beaucoup de suppositions et je serai curieux de savoir laquelle est la tienne. entre donc ! »

tu déposes dans son dos la paume de ta main pour l'entraîner dans la pièce, fermant derrière elle cette lourde porte qui grince tant elle peine à tenir ses secrets. tu récupères sa veste avec politesse, la déposant immédiatement sur le fauteuil qui n’est pas loin. pour elle tu ne fouilleras pas ses poches — elle doit y être habituée de toute manière et rien n’a l’air de peser bien lourd dans cette hideuse fourrure que tu n’oserais critiquer.

« quel plaisir de te revoir libellule. tu es toujours aussi belle qu’avant. le temps est clément avec toi. » tu souris, vilain, tu sais qu’elle te détestera pour ces mots qui crient au sarcasme. « tu as toujours les yeux pétillants et tes lèvres m’appellent encore pour les consoler ; c’est dingue comme rien ne change malgré les années. tu as fait bonne route ? installe toi, je vais nous chercher du vin. » tu laisses derrière toi ces mots offensants sachant qu’elle ne pourrait s’empêcher d’y répondre mais tes pas te pressent dans le salon, la forçant à te suivre pour que tes oreilles puissent l’entendre rouspéter ta démence.

cela ne fait qu’une minute à peine qu’elle est revenue dans ta vie et tu as la sensation que tu ne pourras plus jamais la laisser s’échapper. pauvre libellule.
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Jeu 25 Jan - 23:49
never wanted to dance with nobody but you wouldn't take no for an answer, you fuckin' b*tchC'est qu'il se trompe s'il imagine me faire valser encore un moment, me forcer à suivre ses pas alors qu'être au contact de sa peau m'est insupportable. C'est que tu trompes si tu imagines que je ne nourris doucement ma colère non - à vrai dire - cela fait un moment que je chercher à t'exterminer, te ramener à ton stade de fourmi, te rendre misérable, pas suppliant car tu ne supplieras jamais une femme comme moi, mais effacé de la toile des illuminés.

Libellule abhorre l'addiction et le sentiment de dépendance : elle ne mange presque pas de sucre, s'est toujours tenue loin des compositions de synthèse dont se gavent les gens de son entourage. Elle aime le parfait contrôle d'elle et de son image et surtout de son corps qu'elle aime les os saillants, comme un petit oiseau coloré. Elle lui avait dit : ne prépare rien. Elle l'avait prévenu qu'elle ne mangerait pas et pourtant les effluves de nourriture lui parviennent jusqu'au nez, la distraient de l'ombre du baiser volé qu'elle devrait reconnaître dans le regard d'Alexander qui ne va pas jusqu'au bout de son idée -

pour ainsi dire, tout a de quoi la mettre en colère.

Notamment ses mots qui la narguent alors que sa peau oui si lisse - qu'une beauté fière et qui nargue - qui la titille, qui s'insère dans sa gorge et jusqu'à dans les interstices de ses neurones et bloquent la raison. Elle fait une fixette sur comme il se moque déjà d'elle. Elle reste silencieuse. Elle ne s'égosille pas, ce n'est pas bon avec Libellule qui s'évertue dans des logorrhées de colère accusatrices, qui le pendraient publiquement de ses mots si elle le pouvait. Mais c'est lui - c'est lui qui ne la tue pas non mais qui la torture de remarques alors qu'elle n'est même pas là, là où ça fait le plus mal -
après tout ces deux monstres se connaissent bien. Peut-être un peu trop.

D'apparence boudeuse dans son silence, elle donne l'impression de devoir être conquise par ce vin - mais c'est qu'elle ravale sa rage qui se déverse à l'instant où il part. Elle regarde la table et s'imagine détruire la vaisselle assiette par assiette, alors elle prend le premier verre et le jette par terre. Cela ne suffit pas. C'est trop long et Libellule est une tempête. Elle tire sur la nappe pour mettre au sol, et avec violence, évidemment, la porcelaine qui se brise partiellement - et le cristal des verres qui se fend en mille morceaux.

Il me semblait
Elle hurle. Sa voix n'est pas aiguë.
avoir dit
Elle tonne.
que je comptais pas manger avec toi !
Elle ponctue les syllabes en ramassant les assiettes mal cassées, fouille dans la nappe à même le sol pour les rejeter jusqu'à ce que tout soit néant.
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Ven 26 Jan - 1:03
et c’est ainsi — avec surprise — que tu découvres avec amusement les sévices que tu pouvais répandre à travers les vivants.

libellule explose, en dehors comme dedans, donnant à ton mobilier la punition qui, tu en es convaincu, devait t’être destiné. et toi quand tu regardes avec délice les assiettes se briser, les verres se répandre et la nourriture se gâcher tu parais heureux : bien trop heureux pour un criminel qui reconnaît là les résultats de ses crimes. c’est que libellule n’est pas juge. libellule ne peut (à défaut de le vouloir sincèrement) te punir d’être si intense quand tu aimes maladroitement.

« je dresserai bien encore cent tables après celle ci si cela me permet de voir ta rage te sublimer plus longtemps mon bel insecte… » lascive sonne ta voix, tu crois même être poète un instant.

le pouce toutefois vient caresser ton cou pour remarquer ce qui chatouillait ta peau parfaite ; un peu de sang. il semblerait qu’un éclat ait abîmé ton être et, quel plaisir, de partager avec elle une souffrance si bénigne qu’elle ne peut que bazarder ton enveloppe sans jamais atteindre les entrailles… libellule n’est certainement pas prête à plonger ses ongles crochus dans le creux de ton torse — elle serait bien surprise ceci dit d’y trouver le coeur dont on te pensait dépourvu. peut-être est-ce par peur de trouver ce qu’on pense inexistant pour un diablotin comme toi ; qu’elle ne s'évertue pas à te lacérer de ses propres mains ! ou peut-être n’ose-t-elle pas se confronter à un homme. tu t’en fous ! le bonheur t’exalte de tant d’allégresse, pourquoi perdre plus de temps à déchiffrer ce qu’il y a de plus pur en ce monde : la haine !

finis l’observation. tu t’approches de ce bout de femme qui desespère d’exister, saisissant ses poignets avec hargne ; si bien que l’habilité qui te fait rapide semble témoigner contre toi que ce n’est pas la première fois que tu désarmes quelqu’un de sa folie.

« toute cette colère, parce que j’ai cuisiné pour nous deux ? voyons ma tendre, si j’avais su, j’aurai préparé un banquet ! » tu voudrais l’étouffer d’un baiser si long qu’elle finirait par s’endormir mais patience, alexander, tu es encore trop amoureux de toute cette hostilité dans le feu de ses pupilles, tu préfères lui parler. « qu’est ce qui y’a ? hein ? mon bel insecte dis moi tout ce qu’il y a dans ce petit corps qui te fasse si féroce ce soir ! » tu tires l’un de ses bras pour que ses doigts viennent effleurer la coupure que sa rage avait enfanté. « fais moi donc saigner un peu plus encore, tu sais quoi, non ! mêlons nos sangs ! toi qui aimes les couleurs éclatantes ! » alors tu lâches ton emprise pour venir la chatouiller de tes mains — sans douleur aucune ! tu ne fais que faire danser tes empreintes sur ses bras, tu rêves de la voir un peu plus énervée. « libellule ! libellule ! LIBELLULE ! »
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Ven 26 Jan - 6:23
never wanted to dance with nobody but you wouldn't take no for an answer, you fuckin' b*tchJe ne mens pas si j'affirme que le sang à ton cou m'indiffère. Il ne me fait même pas plaisir, il aurait fallu que je t'ai blessé sciemment pour en éprouver une satisfaction sadique ; il aurait fallu que j'enfonce le tesson de verre dans ta chair, tenu entre mes faux ongles pour que je sois apaisée.
La rage en ébullition, je n'ai plus rien à fracasser contre le sol une fois tout cassé puis cassé à nouveau, le souffle court en te regardant. Je m'imagine te faire tomber dans tous les éclats et te marcher dessus en insistant là où la peau est la plus fine - et tu saignerais - ta peau lacérée, ton visage jeune et doux strié d'imperfections sanglantes - et ça, tu sais, cela me plairait.
Je n'ai pas le temps de m'éloigner que tu me tiens déjà.

Elle se débat de mouvements d'épaules, de ses poings serrés qui donnent sur ses griffes colorées alors qu'elle aimerait se défaire. Ses sourcils sont froncés alors qu'il parle. Elle écoute Alexander mais plus elle l'entend, plus elle le voit de près qu'elle s'imagine - plus que tout - lui arracher les yeux - et les manger, peut-être, ou bien les donner aux chiens errants, ah ces yeux qui ne pourraient plus voir - Alexander aveugle qui ne pourrait plus s'admirer, ce serait une bonne idée !

Mais pour l'instant c'est elle la poupée, c'est elle qui se fait tirer d'un côté de l'autre, qui se doit de l'écouter, qui baverait tant elle a la rage, tant elle se scandalise de tout ce qu'il dit, de tout ce qu'il fait, de comment il la regarde - mais à chaque fois qu'elle s'apprête à parler, il prononce des mots en plus qui la secouent et qui la sidèrent, la rendant inapte à l'éloquence. Un instant seulement ensuite elle a le sang contre ses phalanges et sa paume. Ce n'est que provoquer la bête et il le sait ; ce n'est que s'attirer sa fureur et elle se demande : est-ce que les monstres reconnaissent les monstres ? Sait-il deviner en elle la meurtrière ? Est-ce son objectif de la provoquer pour les mettre à la même hauteur de brutalité, de scandale moral -

My - my - my ! Pour l'imiter qui ponctue toutes ses apostrophes par sa possession - ma tendre - mon insecte - my insupportable redondance qui lui fait siffler les oreilles et qu'elle lui crache au visage, pas pour longtemps car il la relâche mais seulement pour la torturer autrement.
Elle n'aime pas vraiment ses bras sur les contours d'un corps qu'elle aime flou et insaisissable - il y a bien une raison pour laquelle elle est toujours celle qui serre et non pas l'inverse. Aux my - my - my sont succédés son prénom qu'elle s'est assignée, comme une raillerie insupportable et entêtante qui joue sur les derniers nerfs qui résistaient jusqu'ici - Arrête - arrête ! Elle se défend, tente de se protéger à nouveau d'épaules qui tentent de détourner ses bras, intensifie la lutte et le jeu qui ne l'amuse pas et ce feu-là qu'il a vu dans ses yeux -
Il faut s'en méfier car il peut descendre au bout de ses doigts -
ARRÊTE ! JE VAIS TE TUER ALEXANDER ! JE TE DÉTESTE ! Je te déteste ! Ce feu là vient jusqu'à ses paumes et elle lève ses mains bien haut pour tenter de l'étrangler, les flammes léchant ses lignes de vie - menace chaude et d'apparence incontrôlable (c'est la vertu qu'on donne en feu, en réalité facile à étouffer) qui veut s'abattre quelque part pour le condamner - TU VAS VOIR, À CONTINUER DE PARLER DE MOI ! Tu vas voir ! C'est un cri du coeur qui soulève sa poitrine, qui se fiche de vaciller emportée par la chute par Alexander tant qu'elle le marque du fer rouge de ses doigts incandescents, qui se fiche de rouler sur le canapé s'il recule assez - qui se fiche de mettre feu à ce putain d'appartement, tant qu'elle n'y meurt pas ! JE VAIS TE TUER ! T'ES UNE SALE PETITE PUTE AVEC TA LANGUE DE VIPÈRE !

C'est à se demander comment les strass sur son visage tiennent en place.
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Ven 26 Jan - 21:59
libellule gigote sous tes mains qui l’effleurent et sa rage grossit dans sa voix, se mêlant en cacophonie avec ton rire qui exulte : voilà une scène que tu n’aurais jamais cru possible, mais quel aubaine qu’elle puisse exister !

et soudain la chaleur contre ton cou, tu bondis. ah quel inconscient te trouvais-tu soudainement de t’être frotté à un volcan sans te soucier du moindre danger — à trop sous-estimer les femmes tu avais laissé celle-ci te surprendre ; alors la laideur d’une grimace vient défaire ton beau visage.

écarté d’elle c’est un mélange de dégoût et de mépris tu t’habites, dont elle ne pourra pas voir toute la puissance de la retenue. tu t’imagines l’attraper, féroce, lui briser la nuque, goinfrer ses sales mains dans sa grande bouche et la placer toute entière dans le four.

rien que ça, libellule ! imagine-t-elle !?

mais tu retiens ta voix de coucher cette pensée sur des mots, sans pour autant la retenir d’un cri qui sonnait comme la mort :

« SILENCE ! chut ! stop ! tais toi ! tais toi libellule ! tais toi ! ferme la avant que je ne t'étripe ! »

ordonnais-tu avec rapidité, te rapprochant tout aussi vite d’elle comme un chasseur fonce sur sa proie. tu récupères au sol d’un geste sec la nappe de la table, et au corps à corps contre elle tu luttes sans trop de peine à tenir enveloppées maladroitement et avec rudesse ses mains de feu dans le tissus que tu continues d'entourer sur ses bras tant que c’est possible. en même temps, tu lui parles, les yeux grands ouverts et la voix aigüe, tordue par la colère. ton regard planté dans le sien tu débites si vite et si fort tu sais que c’est comme cela que l'on s'apprête à tuer.

« quoi, lib, quoi ? tu crois que tu peux me tuer, moi, un sparte, moi ? alexander ? tu crois que tu m’es insurmontable ? tu veux qu’on essaye, lib, et qu’est ce que tu vas faire ? foutre le feu ? et après ? combien de temps ça prend de brûler un corps, tu le sais, toi ? hein ? tu l’sais ? » ses bras figés dans la toile tu saisis sa mâchoire dans une main, la seconde la poussant sur l’épaule pour qu’elle recule jusqu’à se heurter à un mur. « il faut te calmer ma belle, hein, tu comprends ? » et tes mots agissent quand tu lui prends un peu de son énergie pour doper la tienne mais surtout pour calmer ses ardeurs volcaniques. « qu’est-ce que j’ai fait, qu’est-ce que j’ai dit encore ? dis le moi ! fais moi rire lib, putain fais moi rire ! qu’ais-je bien pu faire pour que TOI tu me détestes, hm ? tu es en colère ? parce que j’ai été là quand tu as voulu être vilaine ? oh libellule merde est-ce ma faute si tu n’es pas heureuse dans ta vie ? une si jolie chose comme toi non ça ne devrait pas avoir autant de colère hahaha surtout envers moi ! tu n’as pas peur que je t’enterre ? merde lib tu es bien la seule sur cette putain d’île qui n’a pas peur que je l’enterre ! j’adore. » dans ton rire qui se coupe et reprend sans rythme au fur et à mesure que la situation te parait de plus en plus folle tu te mets à agiter tes mains, te reculant en lui tournant le dos.

« aah tu m’as fait mal avec tes conneries… »

tes pieds tapent dans les débris, que tu fais mine de rassembler en lui faisant face à nouveau. tu n’as plus du tout l’allure menaçante ; on dirait même que votre querelle n’a eu que peu d'incidence.

« j'ai mal aux mains libellule tu peux aller me chercher de la crème dans la salle de bain s'il-te-plaît ? »
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Sam 27 Jan - 0:56
never wanted to dance with nobody but you wouldn't take no for an answer, you fuckin' b*tchJe manque de trébucher quand tu t'écartes et que je n'ai plus d'appui. Un pas en avant me rattrape - mais tu penses m'échapper ? Tu penses que cela suffira quand rien ne m'inspire assez de pitié ou de calme chez toi pour que j'abandonne ? Tu crois que tu vas me faire peur avec tes mains d'homme et ta beauté d'éphèbe, tu crois que cela va m'empêcher de continuer à être vilaine avec toi, que je vais faiblir à ta demande ?

Elle n'a pas le temps de tenter de l'attaquer à nouveau car c'est lui qui prend l'initiative de la clouer. Silence et cela n'a pas d'effet sur elle : elle hurle quand il l'attrape, elle hurle quand elle sent ses mains retenues par le tissu et elle est persuadée de pouvoir y mettre feu ; Libellule ne sait pas que le feu s'étouffe dans l'absence d'oxygène. Elle s'épuise à tenter de faire de la nappe une immense torche entre eux mais cela ne fait rien. Le feu s'étouffe lui-même et Alexander la maintient, la fait reculer, la force à le regarder ; elle râle de frustration et de petites larmes naissent dans le coin des yeux.

Alexander est terrifiant. Elle sait que lui sait quand il l'interroge sur le temps nécessaire pour voir un corps se faire calciner en entier. Libellule n'est pas calme mais immobile. Son visage est furieux, toujours, presque larmoyant mais pas totalement, et la manière dont elle contracte ses muscles expriment assez sa contrariété. Elle se sent vidée soudainement : pas totalement, mais cela redescend d'un coup, ramollit sa hargne sans en modifier son intensité. Il la bassine de question sans lui laisser le temps de répondre et va-t-elle pouvoir le faire ? Il rit et elle sait d'où ça vient ces éclats. Il se retire, relâche toutes ses prises et lui tourne le dos : elle n'a pas le temps ni la capacité d'à la fois retirer le tissu de ses mains puis lui sauter dans le cou à nouveau. C'est trop rapide. Elle reprend son souffle et tout semble normal si ce n'est le carnage au sol, la table défaite. Elle sent encore la pression de sa main sur mâchoire.

Et elle s'exécute. A sa demande, elle s'éclipse jusqu'à la salle de bain, cherche calmement la crème dans les placards, la sort, vérifie puis revient pour la lui donner. Silencieuse, encore, elle s'abaisse et ramasse un morceau d'assiette dans ses mains - et tous les autres viennent se recoller d'elle-même à celle-ci. Elle observe l'assiette comme neuve, entre ses mains, et la rejette soudainement en s'écartant d'Alexander en hurlant de fureur encore. Elle a ravalé ses larmes mais elles s'apprêtent à dégouliner - TU PEUX PAS ME TUER, J'AI PRÉVENU DANA QUE JE VENAIS - si tu me tues, ils sauront que c'est toi, ils paieront les meilleurs avocats du monde - et tu seras emprisonné toute ta vie ! TU PEUX PAS ME TUER ! Elle se rassure derrière cette invincibilité qu'elle rêve d'avoir grâce à l'argent. Elle s'est détournée et au lieu d'attaquer Alexander à nouveau, elle s'en prend aux coussins qu'elle jette par terre, aux meubles dans laquelle elle frappe des pieds - une lampe qu'elle soulève et qu'elle jette par terre à nouveau - une de celles plutôt faibles qui étaient allumées pour ne pas allumer celle du plafond - et elle hurle de colère - Je te déteste ! Je te déteste ! Tu me ruines la vie à continuer de parler sur moi - sans toi - ma vie serait PARFAITE ! Tout ça car tu es jaloux - jaloux car tu es tout seul et vieux et moche - et que personne veut de toi car t'es un sale taré ! JE TE DÉTESTE !

Sans lui, oui, tout serait parfait. Elle commence à ouvrir les placards sur la pointe des pieds pour en vider le contenu sur le sol, s'il ne l'arrête pas.
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Mar 20 Fév - 16:31
divine elle s'exécute, et tu oublies qu’elle t’a percé les tympans. tes pieds trainent et jouent, ennuyés, avec les casseaux qui décorent le sol mais tu n’es pas triste ; la vaisselle se rachète à l’infinie alors que libellule tu ne pourras la tuer qu’une fois — oh ou peut-être deux tien.

tu saisis le tube, tartine tes mains abîmées par son feu sans plus la regarder mais des fracas se heurtent à toi et le bruit signale une énième assiette en morceaux. tu devisages ces nouveaux débris, puis libellule qui affectionne tant hurler sans pudeur ; mais cette folle venait-elle de reconstituer ta vaisselle pour mieux la casser ? quelle folle !

« tu — ? » tu rafistoles mes assiettes pour les péter à nouveau ?

incapable de saisir son attention elle explose à nouveau, son coeur comme ton mobilier. tu ne peux que paraître décontenancé devant sa rage qu’elle répand, avec charme — c’est indéniable.

« quel gâchis de ne pas faire l’amour ce soir. »

car :
- elle te déteste
- tu lui ruines la vie
- tu parles sur elle
- sans elle
- tu es jaloux
- tu es seul
- vieux
- moche
et un raté pour conclure.

tu roules des yeux ; le listing de ces insultes ne réveillant pas le délice de la surprise. sans lui répondre tu marches sur ses pas, referme derrière elle les placards qu’elle a vidé d’un coup de bras. tu l’aides même — il y a une tasse, ici, qu’elle n’a pas pu atteindre avec ses belles jambes (mais courtes), alors tu la fais glisser toi aussi ; plus on est de fou plus on rit.

« si je devais te tuer libellule je ne le ferai pas ce soir… tu crois que je suis assez bête pour me faire prendre ? » tu récupères le peu d'éléments qui chutent sans se briser, les posant sur le comptoir pour qu’ils attendent, droits et fiers, leur triste sort. « tu comptes réparer tes bêtises avant de partir ? je ne te laisse pas vraiment le choix, remarque. » après l’avoir suivi de près tu allumes l'interrupteur qui vous gardait dans la pénombre — il fallait bien compenser avec les lampes qu’elle a cassées. l’état de la cuisine te console sur une chose : elle mérite bien la chaleur de tes menaces. tu passes derrière elle, récupérant avant qu’elle n’y arrive, une bouteille de blanc. ta parole douce malgré la profondeur se déverse sur le son de ses travaux et du bouchon tiré de son goulot. « tu vas me reconstituer tout ça lib sinon je te casse les côtes. tu te plaindras de douleur, tu voudras un diagnostic, une radio. que tu devras faire à l'hôpital. à mon hôpital. et je trafiquerai les résultats, c’est plutôt facile il suffit d’échanger des dossiers… tu n’auras rien sous la main, que tes bobos. on te donnera du paracétamol pour que ça passe — mais c’est de la morphine dont on a besoin pour ce genre de douleur. tu m’en voudras. tu reviendras peut-être avec l’idée de me brûler vivant ô ça j’aimerai bien voir, j’ai même hâte pour tout te dire mais ce qui est drôle dans tout ça, libellule, c’est que tu seras la coupable et moi la victime. »
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Dim 25 Fév - 6:31
never wanted to dance with nobody but you wouldn't take no for an answer, you fuckin' b*tchImpossible de savoir si elle l'a entendu, si elle continue pour cela exactement ou si dans tout son fracas les mots d'Alexander ne l'atteignent même plus, qu'elle est sourde à son indécence par le surplus de son caprice à elle.

Je dois calmer la cadence si je veux t'entendre. Entre mes mains cela casse moins et cela plus tu parles moins je casse plus tu parles - moins je fais - car c'est ainsi que cela fonctionne, je tombe dans le cercle vicieux de devoir t'écouter, et je haïs - je haïs de me sentir femme dans ton regard d'homme car tu me dégoûtes, car tu es beau et c'est pour cela plus que tout
que je t'écoute.
Je suis obligée de faire l'effort actif de me calmer. La lumière allumée m'agresse. Je déteste tous tes mots, une tasse encore entre les mains, prête à être projetée contre le sol.

Libellule tremble de colère. Elle a encore les larmes aux yeux alors qu'elle le regarde ouvrir la bouteille, s'attend à ce qu'il s'en abreuve à même le goulot - et elle tremble encore dans un chaos qu'ils ont provoqué à deux. Elle a une fierté monstrueuse. Elle a une fierté indépendance qui la fait prétendre mais elle tremble - elle a peur qu'il la touche, qu'il la brise - elle qui se chérit tant ! Tu crois que j'ai besoin de votre hôpital de minables pour me soigner si tu me brises les côtes - ah - j'ai tellement d'argent que j'ai plus besoin de ça, moi ! J'ai plus besoin de toi ! Elle ravale sa salive, c'est grotesque, comme scène et comme déclaration. Sa voix déraille, elle tente autant de se le prouver que de le prouver à Alexander - Si je répare c'est uniquement car j'ai envie ! Tu crois que tu peux me détruire mais tu me fais plus rien ! Tu me fais TELLEMENT plus rien tu peux pas imaginer à quel point tu m'indiffères et à quel point je m'en FICHE de toi et que je fais ce que j'ai envie - tu peux pas imaginer Alex - Elle répète en boucle dans la névrose de la prétention de son désamour et que sa voix ne compte pas mais elle a peur d'Alexander pour tout ce qu'il représente, pour tout ce qu'elle a aimé de lui et pour tout ce qu'il lui inflige encore.

Elle dépose la tasse sur la table à côté et s'accroupit pour ramasser des éclats, les faire se rejoindre. Se met à sangloter de rage et au moindre mouvement - même minime d'Alexander, elle brandit un tesson et hurle : M'APPROCHE PAS OU JE TE DÉFIGURE !
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Lun 26 Fév - 11:44
tu hausses des épaules, souriant : tu ne dis rien mais tu montres que ça t’amuse cette réalité ; celle ou lib ne peut dépendre du système qui l’a toujours accueilli depuis ses quoi ? dix, neuf ans ? tu n’en sais rien. mais tu constates qu’il faut qu’elle s’enterre auprès des hommes et des monstres pour se sentir en vie, pauvre bout de chose ! ça t’étonne un peu qu’elle soit toujours de ce monde — sa voix criarde aurait depuis les années dû la révéler à tous les animaux fabuleux de new-york.

tu la laisses répandre sa rage, observant simplement la beauté de sa colère.
lib est jolie. lib est intense. lib est une boule de feu et tu es prêt à te brûler les mains pour la tenir oui : libellule est quelque chose que tu aimes conquérir. mais comment ?
et à quoi bon.

ça n’a toutefois pas besoin d’être rationnel pour exister.

tu récupères un verre à whisky pour servir ton vin (il n’y a plus que ça qu’elle n’a pas foutu en l’air), t’en délectant sans l’interrompre. c’est quand elle éteint sa voix pour laisser place aux larmes que tu interviens à nouveau, le timbre doux.

« je ne te fais plus rien, pourtant tu es ici. avec moi. »

tu récupères dans un tiroir un couteau de cuisine, et t’arme d’une dernière gorgée avant de vouloir la rejoindre mais après un pas seulement la voilà toujours ardente : la tempête peut semer la pluie elle cache toujours quelques derniers orages. pourtant tu n’as pas peur, tu es presque convaincu qu’elle ne pourrait te faire tout le mal qu’elle prétend ; car jamais tu ne ferais (consciemment et volontairement) tout le mal que tu lui prétendais aussi.

« tu pourrais aussi me griffer le dos à sang en me faisant l’amour, presser tes doigts contre ma carotide, m’insulter, me mordre, me pincer. »

tu t’accroupis face à elle, le regard noir d’un tueur faisant surement echo à ses souvenirs. si elle est aussi violente que passionnée elle est aussi attentive qu’intelligente ; alors tu la relances, baissant avec ta lame le tesson qui menaçait ton visage.

« moi je ne pourrais jamais te tuer. » mais tu mens sans le savoir. c’est tristement bienveillant, faussement véritable.

tu n’aimes pas admettre que tu as trop mal aux mains pour relancer la bagarre ; mais quelle perte ce serait de ne rien faire de cette énergie.

« je peux t’embrasser, libellule ? »
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Lun 26 Fév - 18:21
never wanted to dance with nobody but you wouldn't take no for an answer, you fuckin' b*tchJ'attends que le dégoût vienne, qu'il me tombe dessus, qu'il m'emporte, qu'il me fasse reculer, courir et partir ; j'attends le signal dans mon cerveau qui devrait m'hurler de m'enfuir. Mais cela ne vient pas. Je continue à réparer les assiettes et les verres, la tâche est fastidieuse, je pourrais les faire d'un coup mais j'ai peur de m'effondrer - tu m'as déjà vidé auparavant, le peu qu'il me reste, je le mets à hurler pleurer et ranger.

Et le dégoût lui, oui, ne vient pas.

Cela ne la dérangeait pas quand elle portait une autre bague à son doigt de venir cultiver l'amour d'Alexander et de tous ceux d'un peu mieux qu'elles qui voudraient l'aimer ; elle se laisse faire, évidemment, quand il abaisse le tesson d'une lame d'un couteau et qui la fait sursauter, attentive au mouvement de ses reflets et de la main d'Alexander. Elle n'a pas remarqué que sur les siennes aussi il y a des coupures sanglantes d'avoir trop serré, trop cassé, rien de grave - mais ça coule beaucoup, ici, dans la chair tendre des paumes et des doigts. Si elle les regarde trop, elle va se mettre à pleurer encore plus fort si cela est possible - les dieux savent à quel point elle tient à ses mains.

Libellule tombe dedans : c'est facile de l'avoir, finalement ; il lui dit qu'il ne la tuera pas et pour elle cela tient entre eux comme une promesse. Il parle du désir entre eux comme une évidence - et c'est cela, c'est pour cela que sa vigilance se perd, qu'elle ne s'enfuit pas. Libellule plus que tout n'a voulu qu'être aimée. Désirée de ceux qu'elle trouve beaux, sa haine est l'étape primaire pour en garder le contrôle ; mais Alexander est le premier à refaire l'aveu, et si elle sait comme cette affection là est nocive, qu'elle l'enragera à la première lueur de lucidité - elle considère ses lèvres (jeunes) et son regard (noir), et la lame qui pourrait la tuer - le tesson entre ses mains à elle redevient une assiette qu'elle dépose à côté d'eux. Elle baisse ses yeux et elle voit que ses mains saignent. Elle écarte les morceaux entre eux, étalant un peu de sang sur le sol puisqu'elle le fait du plat de sa main, cela lui brûle, et laisse tomber ses genoux en avant. Elle sent que dans la chair s'enfonce des microscopiques morceaux qu'elle n'a pas réussi à chasser. Elle a mis sa main à sa joue et l'embrasse. Ses sanglots reprennent. Elle enroule un bras autour de lui, derrière lui, dans son dos et l'embrasse encore - le geste est tendre - elle ne le griffe pas, ne le pince pas - elle l'embrasse et contre ses lèvres - Je te déteste Alexander - je te déteste - - elle s'écarte plus franchement et encore à genoux, tout près de lui, parce que derrière est un terrain miné où elle n'ose pas s'asseoir en basculant, elle se cache le visage de ses mains, secouée de sanglots - Dana - Dana et les enfants - c'est pour ça que je veux que tu arrêtes - Et c'est pour cela qu'elle ne l'embrasse pas encore plus ; ce n'est pas l'absence de désir qui la retient mais la culpabilité. Plus que tout - être désirée - à cet instant, elle ne voit qu'Alexander, et elle en mourrait.
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Lun 26 Fév - 20:43
tu regardes ses mains peindre le sol de son sang, lorsqu’elle traîne son corps contre le tien. la voilà, ta malheureuse : celle qui te déteste mais qui te pardonne car tu peux l’aimer, un soir, une semaine, ou même simplement cette nuit. tu es le parfait pantin de ses lubies, le disponible, celui qui donne sans réclamer ; celui qui veut un baiser après la bagarre, après les menaces. celui qu’elle peut noyer le jour et embrasser la nuit.

sa paume sur ta peau — tu es morbide ! mais l’odeur métallique de son hémoglobine n’est pas le meilleur argument pour te supplier d’arrêter ; chacun de ses gestes, même, semble te supplier sans discrétion qu’il ne faut pas brider la saleté de votre amour dévergondé.

alors pourquoi pleurer, libellule ?

« je ne dirai rien. »

ne pleure plus, libellule.

tu te redresses, sans t’éloigner, dépose en te penchant sur le côté le couteau (tu aurais peur qu’elle te leurre pour mieux te planter! lib est folle! mais tu aimes les folles!), revenant près du sol pour retirer avec douceur les mains qui teintent de rouge son beau visage.

« tu t’es faite mal lib. » tu tiens dans tes paumes brûlées le dos de ses mains abîmées, admire ce tableau obscène dont tu détailles tout le charme. « il faut qu’on s’occupe de ça. » ne tenant plus que l’un de ses poignets tu l’aides à se relever, guides ses mains à l’évier de la cuisine, un pas sur le côté. tu fais couler l’eau sur les plaies sales de ton petit insecte, glissant tes doigts sur les morceaux de verre qui grattent sa chair pour les extirper. toi, grand, posté derrière elle, tu te fonds doucement sur son petit corps, déposant des baisers sur le sommet de son crâne, pour témoigner de ta tendresse, puis sur sa joue ensanglantée, pour abuser de l’absurde.

« je ne peux pas arrêter. tu es trop délicieuse, après la colère. » la maintenant toujours par les poignets tu lèves l’un de ses bras pour que tes lèvres effleurent ses blessures. « je ne dirai rien. » répètes-tu dans un murmure — il n’y a qu’en chuchotant que cela devient véritablement un secret.

tu l’abandonnes finalement, étirant tes doigts (tu as mal). tes pas t’amènent à la salle de bain pour y prendre de quoi t’occuper d’elle, et une chaise, que tu traines depuis le salon à la cuisine. « assieds toi, il faut au moins désinfecter et bander tes mains. après je t’emmène à la douche pour t’enlever tout le sang que tu as sur la figure, et tu me fais l’amour. ce sera notre adieu. ...tu me manques libellule. » et tu es convaincu que ce sont ces mots qui la feront fauter. pauvre dana. pauvres enfants. mais qui te plains, toi ?

tu attends qu’elle obéisse à ta première requête pour constater si elle consentira à réaliser celles qui suivent. tu as promis de ne rien dire, alors tu te tais maintenant.
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never wanted to dance with nobody but you wouldn't take no for an answer, you fuckin' b*tchMoi je n'ai pas pensé au sang sur mes joues. J'ai juste pensé à cacher mes larmes, mon regard troublé par le fard à paupières gisant, les paillettes au coin de l'oeil étalées, le mascara lui est waterproof (les hommes comme toi ne savent pas la magie de ce genre de produits qui résiste à toutes les larmes) ; je ne m'en rends compte uniquement quand tu le dis et qu'après, un instant seulement, tu me les nettoies. Je tressaute. J'ai mal. Pourtant tes mains sont douces dans leurs gestes - est-ce que l'eau apaise tes brûlures aussi ? J'hoquette. Je ne suis pas faite pour la souffrance. Je regrette. Je tressaute. J'ai le réflexe maladif de tenter de t'échapper, que je retiens. Je lutte contre moi-même - contre la souffrance, pour être sage. J'ai toujours mal aux genoux.

Il me semble que je vis pour cette tendresse tout autant que celle que je trouve dans les bras de Dana. Je vis dans le confort de l'étreinte de cette dernière, mais j'aime tout autant l'inévidence. J'ai oublié qu'elle peut prendre forme aussi dans l'érotisme sale, dans le libertinage et la tromperie ; j'ai oublié à quel point j'aime quand le sang coule pour moi, par moi et d'être adorée juste après. J'aime tes compliments. J'aime y consentir. J'ai aimé y résister et pouvoir céder car cela me plaît. J'aime avoir le pouvoir autant que toi sans que cela en devienne morne. Sans que cela nous fait sous-estimer l'autre - au contraire, j'aime que cela nous pousse dans les extrêmes de notre violence - je suis née pour aimer. Je suis née pour tuer.

Elle pleure encore un peu. Elle a peur de perdre le confort - ils vont bientôt se marier, Dana et elle. Elle renifle et sa poitrine se soulève par à-coups quand Alexander s'éloigne. Le carnage est partout, encore. D'accord... J'ai mal aux genoux, aussi. Ses bottes jusqu'au milieu de ses mollets, ses collants déchirés, ses genoux éraflés et saignants, juste en-dessous de la jupe plissée néon. Je vais lui dire - je vais lui dire qu'on s'est embrassés, c'est tout - Elle ne dira pas plus. Le reste sera un secret, mais elle ne peut pas lui mentir entièrement - Elle m'en voudra pas beaucoup pour ça - je veux encore que tu me promettes que ce sera un secret si on fait l'amour - A croire que c'est bien plus décent, de se faire la guerre. Si tu me nettoies le visage - tu vas me voir sans maquillage - C'est là qu'elle se cache contre son bras, et qu'elle sanglote sans larmes. A part cela, elle le laissera faire ce qu'il veut d'elle.

Libellule, après tout, craint la laideur plus que tout, notamment la sienne. Tu m'as pas vu sans maquillage depuis des années - mais maintenant j'ai trente ans - C'est une obsession chez elle, surtout quand elle voit la peau d'Alexander si jeune, si tendre, cela lui fait peur ; elle croit que la démesure à ce propos est chez tout le monde - Tu me promets de pas te moquer... C'est irrationnel de s'inquiéter d'un bouton alors que le sang est partout. Qu'ils se sont brûlés, saignés, menacés.
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Alexander L. Anderson
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Alexander L. Anderson
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Poste et/ou Métier : directeur de l'hopital
Particularité : incarnation de pyrrhus
Notes : oui
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander Lun 26 Fév - 23:50
tu aimes, quand elle a mal, quand elle abandonne, quand elle consent en silence qu’elle apprécie ton désir malgré la haine.

tu aimes libellule. c’est toujours éphémère, mais ça ne s'essouffle jamais. tu aimes son animosité qui ne parvient pas à la détacher de toi ; elle prouve que tu la mérites, et d’une certaine façon que tu les mérites toutes. thétis y comprit.

mais cette dernière se refuse à toi et heureusement libellule, elle, ne le fait pas. on peut tous changer d’avis.

« alors je t’embrasserai beaucoup. » tu souris, vile et fier. tu sais abuser des mots sans les détourner, puiser en eux toutes les ressources qu’ils peuvent cacher sans attaquer le sens : elle avouera les baisers et tu ne feras que les rendre indénombrables — ce qui rend une simple partie de jambe en l’air bien moins excusable qu’une centaine de fois tes lèvres sur les siennes le temps d’une minuscule soirée.

et c'est ainsi que tu tortures, habilement, et que l’on est coincé, incapable de te reprocher ton talent.

accroupi face à sa chaise, le plaisir d’avoir entre les mains les sursauts de son corps qui se refusent à la douleur n’apaise pas tes fantasmes, d’autant plus quand tes doigts passent à travers le collant déchiré pour effleurer ses genoux écorchés. toutes ces plaies que tu t’imagines embrasser cette nuit et libellule qui ne s’inquiète que de son visage quand toi tu t’apprêtes à la dévorer toute entière !

« trente ans, déjà ? mince. qui l’aurait cru. »

terminé les premiers soins, tu t’occuperas des bandages quand elle n’aura plus besoin de ses mains pour te griffer.

maintenant tu patientes, la joue rouge posée sur l’une de ses cuisses. tu attends qu'elle t’adresse enfin un regard. cette obsession du beau est une vilaine chose qui occupe tellement les femmes. mais tu apprécies qu’elles veuillent être jolies. ton regard compte. penser à tout cela te fait réaliser que tu n’as jamais été quelqu'un de patient.

« rien ne saurait t’enlaidir. »

un énième baiser sur l’un de ses genoux désinfectés et tu te lèves, laissant ce murmure la condamnée à toi pour la nuit ;

« tu es toujours aussi belle. », belle dans la violence, belle dans la dépendance, belle couverte de sang, belle à nue. belle.

par tes mains qui souffrent tu caresses ses bras pour l’inviter à la danse macabre qui sera votre secret. tu la captures, bien différemment de toute cette tendresse dont tu avais fait preuve ces dernières minutes : c’est ta libellule, que tu désir et veux entendre se plaindre, réclamer. à travers la cuisine, le couloir, l’encadrement de la porte, la douche, les murs de ta chambre, le lit, tu la traines contre toi en l'étouffant de tes envies pour qu’elle y réponde avec la même ferveur qui l’avait poussé à éclater tes affaires — elle aime ça, après tout, non ; se rassasier d’une délicate hargne qui fait se sentir vivant ? et tu as aimé l’embrasser quand le maquillage la salissait, quand le sang tâchait ses lèvres et même quand il se mêlait à l’eau pour disparaître. tu t’es approprié la libellule toute entière aussi longtemps qu’elle te le concéda, parce qu'après cela tu le sais ; elle s’en voudra assez pour oser dire plus jamais
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(end)(tw violence) elle ne t'aime pas, alexander
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