contexte inspiré de la mythologie grecque et de percy jackson
contexte
Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...
Messages : 23 Drachmes : 86 Avatar : seth (ennead) + avan jogia Age : 27 Statut : demi-dieu Parent divin : apollon Défaut fatal : le sacrifice Pouvoirs : - Poste et/ou Métier : gladiateur + fauconnier Particularité : - Notes : avatar par anamée ♡ Inventaire : - En couple avec : - Autres comptes : seren Discord : onewingedangel Gif :
nobody can stop us, axel Ven 16 Fév - 0:10
Primadonna girl, yeah All I ever wanted was the world I can't help that I need it all The primadonna life, the rise and fall
nobody can stop us
c’est dans ce genre de milieu qu’il pense se sentir le mieux, c’est pour ça qu’il s’y force ; au milieu des corps lascifs et poisseux, des effluves d’alcool et de sueurs, la tête jamais loin du caisson. il a toujours trouvé ça plus simple d’y trouver ce qu’il cherche, toujours quelque chose ou quelqu’un à qui s’adonner et s’offrir —s’ouvrir— les bras écartés comme des idoles. pendu aux lèvres d’un inconnu, il s’y arrache en battant des cils quand la musique touche à sa fin, une caresse sur l’avant-bras pour dire je reviens en sachant qu’il ira à un autre. il s’éloigne en tournant sur lui-même entre la foule, son plastron habituel troqué contre un large collier qui retente quand il virevolte. Eshal, d’une façon ou d’une autre, veille a toujours tinter et briller comme le font les bijoux ; se veut de bronze ou d’or pur sans se rendre compte qu’il ne vaut pas plus que du laiton ; une chair à canon pétante qu’on a plongé dans du cuivre.
cette même chair se veut fiévreuse, malade d’être autant exposée à celle des autres et l’esprit n’y voit plus clair de se voir privé du corps. le Sparte s’extirpe, fonce sans trop réfléchir vers une tête rousse, tout juste un peu moins rouge que la sienne. soulagé, il crie ; Axel ! et jette ses bras autour de ton cou comme le font les madeleines, ses lèvres sucrées par l'alcool ne manquant pas d'embrasser ta joue. ta chair à toi ne lui fait pas mal, au contraire ; depuis vos années au camp il y trouve quelque chose de rassurant, de moins sale. j’ai trop chaud, j’sors un peu. tu viens ? il te pose la question mais ses doigts autour de ton poignet te supplient en silence et te laissent supposer que le choix ne t’appartient pas. alors il te tire avec lui sans attendre, à grands pas pour traverser l’appartement qu’Enrico a loué pour la soirée, ouvrant à la volée la première porte qu’il voit et qui semble donner sur le garage. quand le battant se referme ; la fête se tait et ne persiste plus qu’en bourdonnement sourd dans ses oreilles tandis que l’intérieur de la pièce se révèle. putain, mate ça ! il se détache de ta silhouette, s’avance jusqu’à la voiture garée au fond de la pièce ; un cabriolet coupé dont il ne saurait reconnaître la marque, seulement qu’elle appartient au chauffeur de leur hôte. c’est ouvert… il annonce dans un murmure coupable en ouvrant la portière. on devrait pas… tu montes ?
Encore un verre d'alcool qu'il boit cul-sec sous les exclamations de ses sujets, Axel affiche son rictus de conquérant. Il est le roi de ces soirées où la seule loi est de s'amuser, sa cour le poussant aux actes les plus absurdes et stupides. Axel, enfant gâté se nourrissant de l'attention. Axel, grand suzerain offrant des boissons interdites à ses troupes.
Le grand prince ferme les yeux en sentant son corps se détendre, l'esprit trop embrumé par les effets de l'alcool. Un homme lui saute dessus, le gratifiant d'un baiser sur la joue en guise de salut. Un rire innocent s'échappe de ses lippes, reconnaissant très bien l'approche d'un ami cher à son cœur.
- Eshal, ma pétasse rouge ! Axel lui offre une étreinte amicale, souriant de toutes ses dents face à son ami. Eshal est son ami de toujours, son frère de coeur, son valet, son Robin s'il était Batman. J'te suis toujours, mec. Qu'il avoue, bien qu'Eshal ne lui laisse pas vraiment le choix.
Entraîné dans une pièce ressemblant à un garage, les notes assourdissantes de la musique deviennent des bruits parasites. Si tu voulais m'embrasser, t'aurais pu le faire devant les gens. On aurait pu finir dans la presse à scandale... Dramatique et taquin comme toujours, alors qu'il laisse son regard se poser sur la voiture du chauffeur, haussant un sourcil.
Les portières du cabriolet ne sont pas fermées. Axel lance un regard complice à Eshal, s'installant déjà dans la voiture. Tu veux que je conduise ? J'ai l'habitude d'être dans les voitures comme ça ! En tant que passager.
Eshal Al-Shennawi
Clan Sparte
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nobody can stop us, axel Sam 17 Fév - 23:25
Primadonna girl, yeah All I ever wanted was the world I can't help that I need it all The primadonna life, the rise and fall
nobody can stop us
t’inquiète même pas, il annonce plus vif et léger qu’il ne l’a été de l’autre côté de la porte depuis le début de la soirée, comme si la simple présence du fils de Dionysos avait suffi à apaiser ses martyres. si j’avais voulu t’embrasser, j’aurais pas attendu de t’amener ici. finir dans la presse n’aurait pas été une première non plus ! ce ne sont que des aléas quand on fréquente une célébrité comme Enrico ou un enfant mondain et il s’y plaît bien dans ce rôle secondaire, presque autant qu’à l’arène ! si ce n’est que ça manque un peu d’effusion et de démonstration de violence. on ne le privera jamais totalement de sa nature animale propre aux guerriers de son clan.
t’as le permis toi ? Eshal ouvre la portière côté passager, n’arrivant pas à se remémorer une seule fois où il a vu son ami au volant d’une voiture, bien que ça ne l'empêche pas de s’installer sur le siège au même titre que le doute s’immisce en lui. soudainement, il ne se sent plus aussi sûr. cependant, l'envie et le goût du risque restent toujours plus forts ; au moins tout autant que l'alcool. tu fais gaffe, hein ? c’est la voiture de son chauffeur. par là il entend, et je n’ai certainement pas la tune s’il se passe un truc !juste on se pose… il attend qu’Axel démarre la voiture pour pianoter ses doigts sur le tableau de bord, faisant rouler le bouton radio sous son pouce jusqu’à ce qu’une station lui plaise assez pour s’affaler contre le dossier, ses cheveux en cascade vermeille contre le cuir havane. t’as l’air déter de conduire… t’avais envie d’aller quelque part ?
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