Tu t’étais juste endormie, dès l’instant où tu avais pu ton corps avait lâché te laissant rejoindre ce monde où tu n’es pas plus fort mais plus à l’aise. Où les monstres s'évitent sans trop de difficulté, où la vie est plus douce car plus simple, moins complexe car ce qui l’est trop se range derrière le trait mystique, parfois flou des rêves que l’on peut simplement oublier.  

Ici ton corps à imposer le repos, tu ne vois pas les paysages défiler, tu ne retrouves pas les images habituelles. Il n’y a que toi dans cet espace, t’oblige le temps nécessaire au corps, la faiblesse n’est pas une surprise, tu n’es pas fort Ethan, tu n’es pas grand-chose d’ailleurs, tu es et tu seras toujours une âme mi-vivante si tu n’est pas à ses côtés.

Le réveil est doux, un repos nécessaire, où l’on n’a pas la sensation immédiate d’être en pleine forme, non au contraire, on tente de retourner dormir. Se devine alors une silhouette du coin de l’oeil, de l’autre tu ne reconnais pas l’endroit. Où es-tu, que fais-tu, tu te souvenais du labyrinthe, de ton rêve, mais ici, ici ne semblait cohérent à rien, tu voudrais te rendormir, retourner au labyrinthe, connaître ton espace et ne pas risquer quoi que ce soit. L’attente se fait, tu ne saurais dire exactement combien mais peut être une demi-heure, voire plus, et tu sens, la personne n’est pas en train de dormir, résout alors sur les différentes possibilitées, le plus logique aurait été Gabriel, mais il aurait deviné que ton sommeil est faux, Emon lui a trop de travail en journée...

La boule au ventre, tu finis par ouvrir les yeux, faire mine de te réveiller, doucement, tout doucement le regard qui papillonne jusqu’à trouver cette silhouette dans son entièreté. Dante ?  De suite tout s'accélère, les pansements sur le visage et ses traits déformé te panique. Qu’est ce que tu fais là ? Tu devrais te reposer je- suis désolé ? Oui, mais ce n’est pas ça que tu veux dire de suite, finit par te relever, t’échapper du lit avant de l’attraper par les épaules. Dante ! Tu as besoin de repos, tu as pris trop de coups pour juste être déjà debout et s’il le faut je peux te forcer à dormir pour que tu récupères, alors pourquoi es-tu déjà là ! Moi je n’avais qu’à dormir un peu et pourtant je me réveille en dernier je- comprends pas cette force qui t’anime encore.

Ces mots te donnent presque l’impression d’une hallucination, tu en es certain pourtant, il n’y a rien de mystique à cette scène. On a pris soin de toi mais si je t’attrape juste comme ça tu as mal ?? Tu serais presque tenté de le serrer un peu plus fort, qu’il ne puisse pas simplement échapper à la douleur, que l’inquiétude soit légitime. Mais à ses mots ses blessures étaient un pas grand-chose. Qui sont arrivés un jour, qui sont arrivés un autre, qui arriveront à nouveau ? Ah… Il n’est pas à toi de tout y faire mais tu aimerais que Dante reste en place parfois, se donne le temps de prendre une grande inspiration.

Oui je vais bien, j’ai juste utilisé beaucoup d’énergie, et j’utilise pas tellement mes pouvoirs d’habitudes c’est tout. Et tes pouvoirs demandent sommeil contre sommeil, probablement que cela sonne plus juste de la sorte, rééquilibrer une balance où l’on subit ce que l’on impose à l’autre pour plus d’équité. Soit, tu avais juste besoin de sommeil, rien d’autre, pas besoin de soins ou d’attention, alors tu avais fini par lâcher Dante, t’étais redressé. Si tu vas si bien j’imagine que tu peux déjà sortir de l’hôpital non ? Le regard fixe, ah, ça te paraît étrange de regarder quelqu’un dans les yeux, mais tu veux être sûr, certain même, qu’il ne ment pas. Que tu puisses voir chaque émotion qui passe sur ses traits, ses pupilles noisette, les quelques cicatrices plus anciennes au visage, créer, un visage imparfait sans sembler anormal. Au contraire, normal et rassurant, par ses traits familiers et même ses cernes sont comme un point d'accroche pour la mémoire. Au premier abord on le verrait pas très commode, et le voilà maintenant cassé ici et là pour un problème que tu avais amené toi-même.  

Peu importe combien de fois tu t'offusquera Dante reste Dante, à l'excuse de ses blessures sans importance et pourtant le voilà qui s'inquiète comme la fin du monde alors que tu n'avais eu besoin qu'un peu de soleil. À ses côtés tu sembles toujours être le plus jeune le plus protégé, sans pouvoir tellement y faire. Ouai ouai, j'imagine. Sans même cacher tes airs peu convaincu, puisqu'il y aura les coups, encore toujours à continuer sans trouver de fin mais vos corps eux en ont une. Bien précisé d'ailleurs mais on ne l'a définit que lorsqu'on lui fait face, pied au mur sans possibilité de retour.

T'as peur, t'as peur pour Dante, pour sa vie soit mais surtout qu'il se fatigue, s'épuise, qu'arrive l'heure où il n'aurait plus la force de la riposte et de là, trop sont ceux qui pourraient venir l'attraper. Oui je vais bien, ils ont pas pu faire grand-chose. Les mots dans le vide, venant poser sa tête contre son épaule, tentant au mieux de ne pas appuyer sur un des hématomes.

Oh… Et de suite plus attentif, le regard plus inquiet et pourtant rassuré, de savoir qu’il ne va pas juste s’échapper comme si de rien n’était. Et tu penses toi que c’est bon ? Que t’as pas besoin de plus de soin ou de repos ? Tu ne voulais pas faire un mauvais pas en le motivant à quitter l’endroit, puis, ses endroits trop blancs tu les connaissais bien. Était associé à ses bons souvenirs avant toute chose bien que ce n’était pas cette clinique-ci. Tu avais donné tes espoirs aux creux des mains du personnel médical sans jamais regretter une seconde. Probablement les rares personnes à qui tu apportais une confiance aveugle sans jamais te questionner. Alors pour toi il ne dépendait que de lui, s’il faut ou non rester ici ou pas, si l’on s’autorise le départ ou non. Pour l’instant tu n’as rien fait de plus, tu n’as pas bougé trouvant simplement le confort contre son épaule, et s’il faut se relever pour partir ainsi soit, et si l’on préfère rester ici encore un peu cela ira aussi. Mais tu as un sens du devoir, sans comprendre pourquoi, ou comment exactement mais rester aux côtés de Dante se soir semblait être le minimum pour te racheter de cette journée, et des bleus.

Mais toi, toi tu ne pourras t'empêcher de continuer à y penser, du simple aspect il y a l'évidence que ce jour arrivera un jour. Pas aujourd'hui pourtant, ce jour-là n'est pas aujourd'hui et aujourd'hui tu ne veux plus y penser, tes yeux se sont fermés, doucement.

Tu n'es pas grand connaisseur des contacts humains, pas ici, dans le monde sans rêve. Il y a un confort indéniable pourtant, on se fiche de la poussière sur vos vêtements, la saleté des peaux pour éviter d'y trouver la couleur d'hématomes. Cinq minutes alors. Avant de revenir au monde trop brut, trop rapide et réel qui se trouve de l'autre côté de la porte, mais paupière celle-ci disparaît. Ah, il aimerait tant que Dante puisse voir le monde onirique comme lui, comprendre la facilité d'un confort, d'une vie quand les espoirs se réalisent dès l'instant où l'on s'endort, ainsi tout serait bien plus simple pour vous. De ce monde-là tout ne se contrôle pas, mais plus juste un chouïa plus qui rend le quotidien plus viable qu'ici.

Oh.. La réponse laissé en suspens, pris de court, ses propositions là ne te sont pas habituelles, et si les cauchemars ont été oublié il y a toujours cette idée que tu pourrais être un point d'accroche pour tous ses cauchemars, fard qui n'éloigne pas les bateaux mais tel une sirène leur imposerait de s'échouer contre les falaises. Ah..tu es bien mauvaise augure mais tu n'as pas envie de refuser. Si ça te dérange pas il faudrait que je récupère quelques affaires chez moi mais, ce serait avec plaisir oui. Le ton plus consistant, tu ne veux laisser aucun doute, aucune pensée à Dante que d'une quelconque manière tu te sentes forcé dans cette situation. A défaut d'un monde qui se parfait pour vous le petit appartement suffira en barrière pour votre confort, peut être que ce soir il ne faudrait pas trop y réfléchir, et rire, comme s’il n’y avait pas de peurs, de honte.

La lumière de l'écran t'avais brulé les yeux, l'intensité rayonnante au-delà des paupières, comme un réveil que tu ne voulais pas qu'il soit associé aux jours mauvais, aux jours de routine sans plus de réflexion. C'est ce que cette journée aurait dû être d'ailleurs, qu'elle n'a été en quasi aucun point. Les plans ont chaviré, au meilleur, au pire, c'est seulement quand tu te redresses un peu, que tu te détaches de Dante que tu remarques son sourire.

Et c'est bizarre de dire qu'il sourit un peu, grâce à toi.

Ah..Oui, allons-y. Simple mouvement de tête approbateur vers son téléphone, les yeux un peu plus habitués à la lumière bleue à présent permet de déchiffrer l'heure sur l'écran. Le corps à pas trop de mal à se repousser du lit, c'est pas comme si t'avais été blessé après tout, peut-être que tes mouvements sont juste un peu lents. Comme si tu avais pas encore bu du café, chez toi le sommeil est presque toujours réparateur alors il n'y a pas de soucis. Vérifie juste tes poches, trouve tes lunettes à côté du lit et. Je crois que c'est bon..On peut aller chercher tes affaires je pense. Mais t'a aucune idée d'où elle se trouve, tu prends juste le temps d'ouvrir la porte, avant de te laisser guider, et il n'en faut pas tellement plus pour Dante de réunir ses affaires laisser dans sa chambre. Retour à la vraie vie, loin des couloirs de l'hôpital. Je crois qu'on n’habite pas loin donc il y aura pas besoin de faire un grand détour. Et ça te rassure, de savoir que vous allez pouvoir faire le chemin ensemble, même si tu dois passer par chez toi.

C'est un peu bizarre de le voir signer les papiers, toi tu n'en as pas à signer c'est comme si tu étais venue à la clinique pour une sieste. Non, Enfin si, tu es vraiment venue juste pour une sieste mais soit, à présent tu as pu te reposer, te sens un peu mieux, sait qu'une longue nuit de sommeil sera nécessaire, mais sera plus tard, c'est rare de se le dire mais maintenant on vit.

Oui je pense. Ce n'est pas très loin, tu n'as pas grand-chose à y redire, ne fait que dire donc. Tes mains enfoncés dans les poches, la directions est plutôt claire, n'est pas méconnue, la distance déjà marché quelques fois, et ici tout se fait à pied, il n'y a pas le choix que de connaître les allées principale quand on ne sort pas de l'îlot.

Tu n'as pas plus à dire, avance juste, la journée trop avancé pour qu'il reste quoi que se soit à faire, qu'il y ait d'autre options, finit par arrivé devant l'immeuble un peu nul, un peu sale, pas très accueillant de l'Até. C'est là.. Comme si ce n'était pas déjà évident vu que tu t'étais arrêté devant la devanture de celui-ci. Je reviens dans deux minutes si ça te dérange pas d'attendre ! T'échappes sans attendre la réponse, c'est plutôt cinq minutes au fond et tu reviens avec un sac sur les épaules. Désolé c'était un peu long, on y va ? Parce que de là tu es un peu moins sûr du chemin, ou si, tu t'en souviens, ce n'est pas la première fois, mais cela semblerait étrange de savoir sur le bout des doigts l'adresse des autres. Surtout avec ta fratrie, ton ascendant, mais tu allais rarement chez les autres, quasiment jamais même,  alors ses deux, trois personnes que tu avais déjà côtoyé de la sorte était resté gravé dans ta mémoire., leur traits comme leurs addresse.

Je me dépêchais alors ! Et déjà tu t’empresses déjà dans l'escalier, juste deux étages à monter, c'est pas grand-chose et tu sais déjà ce que tu as besoin de récupérer et déposer. Pas plus de cinq minutes et te revoilà en bah, le souffle un peu court, les cheveux décoiffés mais tu as pu enfiler une tenue plus confortable, chaude et qui n'a pas été imbibé de sueur, de peur, de quoi que se soit bien en trop pour cette soirée où tu n'as plus besoin de tout ça, tu n'as pas envie d'avoir peur ce soir.

Trajet rapide, assez connu pour ne pas poser un quelconque problème. T'amuse légèrement du comportement du chien, ça doit être rassurant aussi, de savoir que l'on peut rentrer et retrouver une présence familière, d'avoir quelqu'un, quelque chose qui veille sur soi, t'y perd un peu et te fait surprendre à ses mots. Oh, oui, merci.. Te contentant de suivre ses mouvements, retire tes chaussures à ton tour sans déposer ton sac. Rentre dans la pièce, ça n'a en effet pas changé depuis la dernière fois. Oh, si tu veux j'ai emporté de quoi faire du budae-jjigae c'est une soupe assez simple je me suis dit ça pourrait être pas mal si ça te dis. Justifie alors le temps passé chez toi tout à l'heure, en effet c'est assez rapide à faire, c'est ce que tu avais prévu de manger ce soir de toute façon alors tu avais juste tout fourré dans un sac plastique puis dans ton sac. Faut pas tellement plus longtemps pour que tu sortes le sac du sac, quelques légumes dont certains fermentés, viandes, saucisses et un paquet de nouilles. Enfin si ça te convient bien sûr..Normalement c'est un peu épicé mais on peut faire sans aussi c'est comme tu préfères..

La présence de l'animal est assez amusante, l'idée que quelqu'un toujours soit là pour guetter son retour, de ne jamais se retrouver seul. Tu n'as pas d'affection folle pour les animaux, autant qu'il ne te dérange pas, ils sont là puis quand ils sont là c'est assez sympa, tu te penche juste un peu pour lui offrir quelques carresses du revers de la main, évitant au maximum de ne pas mettre trop de poils sur tes vêtements bien que tu as compris assez vite que ça ne servirait pas à grand-chose vu comment il s'était installé à côté de lui et que la viscose de ton jogging accrochait parfaitement les poils.

Enfin, c'est rien, c'est quelque chose dont tu t'occuperas en rentrant. La c'est pas très important, même en général il y a plus important que ça, le sujet du repas, c'est ça. Oui, 'fin c'est pas grand-chose mais je me suis dit que ça ferait un dîner pas mal. Tu sais pas trop comment le présenter autrement, c'est là quoi, toi t'aime bien mais faire aimer la chose aux autres c'est pas tellement ton point fort il faut avoue. Ah, ok bah tant mieux, puis ça réchauffe c'est pas mal. Faut pas tellement plus, et quelques pas avant d'arriver dans la cuisine, pose petit à petit tous les ingrédients, oignons nouveaux, pâtes, viandes, regarde les casseroles, juge les options un peu. Celle là je pense, la plus grande c'est le mieux…Puis au pire c'est trop grand ça change rien, et..si tu peux couper les champignons, l'oignons…et le spam ? Je vais faire la sauce en attendant. Pas trop sûr encore d'où trouver, tu as seulement pointer les ingrédients du doigts avant de te mettre en recherche d'un verre, un bol, juste quelque chose qui contient et qui n'est pas trop grand pour rien. Ah, et mettre le début des premiers ingrédients dans la poêle, oui non, mieux vaut faire ça, et ensuite tout mettre à cuire, puis la sauce, très bien, bien, tout est clair, alors il retourne a l'étape 0, se laver les mains.

Ah..C'est rien t'inquiète, j'en ai encore chez moi je pense, c'est assez courant avec le travail. Ce n'est pas quelques poils qui te font peur, ils seront simples à retirer de tes vêtements une fois rentrés, puis ça tu y survivras sans inquiétude. Pas besoin d'histoire grandiloquente à ce sujet, de la soirée les poils de Pachinko sont bien dans les plus minimes de tes ennemis. Puis question d'hygiène brute il suffit de se laver les mains et l'affaire est pliée, il ne faut pas voir de problème partout, tu en as déjà trop vu ce soir.

T'aimes bien ça aussi, comme proposition, des entrevus qui n'auront pas à être bousculés par tous et qui pourraient bien exister juste pour vous deux. Je veux bien oui, ça sera pas mal. De se retrouver sans autre raison qu'eux-même.

Une fois que Dante s'est concentré sur ses ingrédients, ta propre tâche était bien vite résolue, tu t'es contenté de trouver une très grosse casserole dans ses placards. Aviser un peu de tous les composants, retester la sauce et en refuser au chien qui semblait bien trop enthousiaste envers celle-ci qui pourrait bien lui brûler les babines. Oh, passe juste je vais les placer dans la casserole puis on laissera juste cuire, ça devrait pas être trop trop long. Puis tu as assez raison, il te faut pas plus de cinq minutes avant que le couvercle soit posé et que la cuisson commence. Laisse quelques instants de blanc, tu vérifies juste, au cas où, que la cuisson ait bien prise, que la plaque chauffe, que tout aille et que la chaleur ne prenne pas trop vite. Puis il faut attendre quoi. ..Fin, ça va prendre encore une vingtaine de minutes je pense donc si tu as envie de te doucher ou de changer hésites pas hein, ce sera surement plus confort. Parce que là tu sais pas quoi dire, et ouai, ce sera bien plus agréable pour lui c'est sûr.

A vrai dire la propreté seule tu t'en fiches un peu, à force, avec trois, quatre grandes années d'expérience tu as appris à ne pas être regardant selon le contexte. Le ménage c'était un peu toujours par défaut de toute façon donc ce n’est pas comme si tout à coup tu étais habité du démon du ménage. Soit tu apprécies les chiens sans plus mais tu n'iras pas faire de commentaire quelconque, de toute façon ton attention passe surtout du repas à Dante, parfois à Patchinko, c'est tout et c'est plus simple comme ça.

Tu auras acquiescé rapidement, approuver juste avant de récupérer les bols, placer chaque ingrédient. D'accord.. Et repose les bols dans l'évier, s'assurant de ne pas créer une tour de vaisselle instable. Il te suffit d'un pas en arrière pour laisser ton ami voir le ragoût, ça laisse le temps de passer ton poids d'un pied à l'autre, de t'appuyer contre le comptoir.

Tu sais pas répondre de suite, pose ton regard sur le chien, lui ça se voit, il n’a pas ses problèmes là dans sa vie et des décisions à prendre..Non vas-y, vas-y, je me doucherai chez moi, et tu as le temps avant que ça finisse de cuire pour le coup. Enfin. 'Fin, je sais que j'irai pas me doucher quoi mais je t'y force pas non plus c'était juste pour toi, ça doit être plus confort juste je pense..Mais c'est comme tu veux c'est une proposition quoi, et puis… je tiendrais compagnie à ton chien en attendant…Ou peut-être faut le sortir entre-temps ? Bref tu me dis juste hein.. Ouai il y a beaucoup d'informations d'un coup, ça laisse un blanc, ça laisse le temps de regarder le ragoût, qui cuit, sans un souci car il n'y a pas de facteur fort qui se rencontre, il y en a un, c'est juste la plaque à induction. Alors ça cuit, facilement, la journée a mangé l’énergie, t'as trop pris la tête et juste la phrase, la plus simple, dans sa seule explication devient bien trop complexe, laisse des doutes qui n'ont pas lieu d'être, t'attrape un souffle. Je vais vérifier que l'eau ne déborde pas, ce sera plus simple.