contexte inspiré de la mythologie grecque et de percy jackson
contexte
Les dieux de l’Olympe existent ! Depuis qu’ils ont créé le monde à leur image, ils règnent sur celui-ci, dominent le ciel, les océans et toutes les couches de la terre. Ils sont à l’origine des cataclysmes les plus connus et des guerres les plus atroces...
Le pas léger et souple; la silhouette enveloppée dans l'obscurité des ruelles mal éclairée, le visage dissimulé derrière une épaisse capuche. Un jeu du chat et de la souris, alors qu'elle poursuit (s'amuse) Anael, sait-iel qu'on lae suit ? Sans aucun doute, cet enfant d'Athène est plus rusé.e que le reste de ses adelphes. Ce qui en fait une proie des plus délicieuses, brisant la routine du Sphinx qui n'est pas adepte de la chasse - à l'inverse du Minotaure, cette brute épaisse.
Anael est malicieux.se, son esprit perverti par un orgueil divin - leg d'un manque d'amour ou d'affection durant l'enfance, selon son humble analyse. Sa chair doit être tendre, savoureuse et elle s'en languirait presque. La faim ne prime pourtant pas sur la curiosité, la progéniture de la déesse peut être utile pour les plans du Lotus, ou comme un jouet divertissant.
Sophia lui a laissé quelques indices concernant sa véritable nature, celle d'une créature vouée à détruire l'Olympe. Lae sang-mêlé disposant de plus de jugeotte que ses frères et soeurs, iel a du saisir et comprendre. Bravo. Enfin quelqu'un qui comprend les énigmes, cela en ferait un rival.e idéal, cependant, personne n'arrive à la cheville d'Oedipe.
- Tu comptes fuir longtemps, Anael ? Le ton mi-sérieux, mi-ironique.
Sortant des ténèbres en baissant sa capuche, Sophia vient de lae coincer dans un cul-de-sac.
- Tu devrais savoir que personne ne m'échappe, ou était-ce ton intention de jouer avec moi ? Haussement de sourcil, rare trace d'émotion.
(end) Those who slither in the dark (Anael) Sam 25 Mar - 12:37
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Je commence à regretter oser Sortir ne serait-ce quelques heures de l'île Car depuis quelques temps il se trouve Qu'un certain type de personne Ne peut s'empêcher de me pourchasser Alors que je ne venais que pour quelques mondanités Alors me voilà me rabaisser A parcourir des ruelles malodorantes et tout aussi mal éclairées Mais rien n'y fait Tu es toujours sur mes pas
Enfin le « jeu » s'arrête Coincé.e dans une rue sans issue Merde Enfin ta voix s'élève ; Je ne peux m'empêcher de laisser échapper Un soupir las Las de toutes ces traques Où j'étais la proie Ah, madame, comprenez-moi : Vos semblables, ces derniers temps, Sont comme amoureux de moi A me suivre partout dès que je pose un pied ici
Loin de moi l'idée de dénigrer ton hospitalité Mais tu venais simplement au mauvais moment
Le coin de mes lèvres se relèvent légèrement Un jeu, dis-tu Ah, vu ainsi Si tu veux ! A condition que je sois le chat Si je puis dire, J'ai autant le goût du jeu que vous Surtout quand j'ai l'assurance de gagner Mais je me retiens bien de te le dire
Le regard perçant, détaillant les moindres détails du visage d'Anael, sublime ange déchu.e qui porte à merveille la souillure et le péché. Le commentaire sur ses frères et soeurs arrache un soupir à Sophia, ses adelphes ne savent pas se contrôler. Tragique. Cependant, elle comprend l'attrait que suscite cette proie en particulier. Mauvais.e, malicieux.se et diaboliquement insupportable, le parfait mélange pour un repas des plus savoureux. Lorsqu'Anael cessera de la distraire, alors elle lae dévorera sans rien laisser derrière.
- Je vois que tu es donc bien courtiser, quel malheur d'être aussi aimé de mes collègues. Tu dois être délicieux, je n'en doute pas. Et iel lui donne terriblement faim.
La remarque d'Anael lui arrache un bref rictus, se rapprochant doucement d'iel.
- Vraiment ? Et à quoi souhaites-tu jouer, progéniture d'Athéna ?
Elle passe dans le dos de la descendance de la déesse pour lui saisir les bras, sans réelle violence.
- Fais attention à ta réponse, elle pourrait être fatal...
(end) Those who slither in the dark (Anael) Dim 26 Mar - 16:48
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Oui, très chère ; quel malheur d'être aussi courtisé.e par des bêtes qui ne souhaitent que mon trépas pour assouvir leur faim Délicieux.se...? j'en doute, vous savez je fais une courte pause avant de laisser paraître un sourire venimeux Il y a des chairs qui tuent de l'intérieur une fois ingérées vous savez
Je me laisse faire sans rien dire malgré le danger de tes gestes malgré ta proximité qui signifiait que la moindre erreur me précipitera tout droit dans ton estomac Je pose ma main dans la tienne galant.e Ah, madame n'importe quel jeu me satisfera : je ne suis pas bien difficile Assuré dans mes mots n'écoutant que l'adrénaline procuré par le danger que tu représentais ; ah Sophia il y avait bien longtemps que mon âme n'avait pas autant tremblé d'excitation
La prise sur les bras d'Anael qui se resserrent, Sophia lui fait mal sans aucun doute. Qu'import la douleur, pourvu que l'ivresse s'y trouve. La réponse lui arrache un sourire sans joie, mais pas dénué de malice. Le Sphinx hume le parfait si particulier de son jouet, laissant un faible soupir s'échapper de la commissure de ses lèvres.
- Hm. Je vois... Intéressant, tu ne cesses d'être fascinant.
Sophia lae relache pour se retrouver face à lui, sa main gauche venant attraper désormais la gorge d'Anael pour lae plaquer contre le mur de pierre. Lentement, sans grande difficulté, elle lae soulève de quelques centimètres du sol, une lueur malsaine de défi et d'admiration dans le regard.
- Tu aimes le défi et le danger, dis-moi ? Je dois reconnaître que c'est audacieux, peu de gens de ton espèce oserait avoir un tel courage.
Le monstre se penche pour toucher le front de l'enfant d'Athéna, fixant son regard perçant dans le sien.
- Ou serait-ce de la folie ? Je me demande bien..
Elle s'amuse sincèrement, depuis bien trop longtemps.
(end) Those who slither in the dark (Anael) Mar 28 Mar - 19:16
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Je ne dis rien lorsque ta poigne se resserre sur mon pauvre bras ; par simple orgueil je fais comme si je ne ressentais rien comme si ta prise n'était rien pas même une petite inconvénient quand bien même elle me fait mal – mais je ne te laissera pas le plaisir de te délecter de ma douleur
Très vite la tension monte d'un cran et pas à mon avantage : ta main se plaque contre ma gorge et j'ai à peine le temps d'y poser mes mains essayant vainement de te faire lâcher prise par un réflexe futile que je sens mes pieds décoller du sol lentement et je ne peux m'empêcher de me demander dans quelle situation je m'étais fourré.e cœur battant à tout rompre dans le creux de ma poitrine Cependant je n'avais pas peur, non : bien que conscient.e que le moindre faux pas suffira à me précipiter dans les bras de la Faucheuse je ne pouvais m'empêcher de penser cette expérience terriblement excitante
Je m'ennuie simplement plus vite que n'importe qui je te réponds grimaçant un sourire ; Je suis simplement en perpétuelle recherche de défi Tu te penches contre moi ton front collé au mien – et on aurait presque cru à quelque mouvement romantique maladroit si je ne lisais pas la folie latente dans le fond de tes yeux Je vous laisse donc choisir la version que vous préférez
Je laisse une courte pause avant de reprendre Ceci-dit puisque vous me trouvez spécimen rare ne serait-il pas bien dommage de se débarrasser de moi ? Une nouvelle pause le temps de reprendre mon souffle – car cette position n'était pas bien agréable Après tout qui sait dans combien de temps vous retrouverez quelqu'un comme moi ? Quelqu'un de suffisamment fou pour défier un monstre du regard et se prétendre prédateur alors qu'il n'est censé être que proie
La réponse soufflée par Anael la ravit plus que raison, iel est un spécimen rare, elle ne peut pas (plus) le nier. La prise se fait moins sévère, relâchant légèrement la pression. La folie dans les yeux du Sphinx s'estompe un instant, est-ce une preuve de faiblesse ? Non. Elle n'a pas perdu son envie de lae tuer, mais pas maintenant. Il est trop tôt. Anael est bien trop précieux.se.
Peut-être qu'iel a le potentiel de rivaliser avec Oedipe... Peut-être que la solitude appartient enfin au passé ? Patience. Rien de bon ne survient lorque la passion prend le dessus sur l'esprit, elle doit rester calme et observatrice.
- Correct.
Finalement, dans un soupir faussement las, elle libère la proténiture qui s'écrase au sol. Un léger rire moqueur (heureux) s'échappe de ces lippes, la surprenant elle-même. Un bref regard avant de soupirer, tendant la main pour aider Anael à se relever.
- Tu es un spécimen rare, Anael. Je préfère te garder pour moi.
A s'y méprendre, on pourrait croire à une confession romantique des plus étranges, cependant, l'amour est un sentiment inconnu.
- Tu es l'enfant de la déesse de la sagesse, tu es aussi sage que fou. Un mélange intriguant, je dois l'admettre.
(end) Those who slither in the dark (Anael) Dim 2 Avr - 16:15
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Les minutes me semblent terriblement longue avec ma gorge prise dans ta main mes pieds ne touchant même pas le sol ; les minutes me semblent terriblement longue mes yeux plantés dans les tiens en l'attente d'une réponse sentant un étrange mélange de peur et d'excitation : de peur, car je savais qu'à tout moment j'y laissais ma vie – et je n'avais guère envie de mourir ; d'excitation, car c'était une situation pour le moins épineuse aux conséquences possiblement fatales mais surtout une situation nouvelle et même plutôt rare car les gens dans ton genre jouent rarement ainsi avec leur proie Quel sera mon sort ? devient alors une question aussi terrifiante qu'excitante
Correct La pression se relâche et je retombe lourdement au sol sur les fesses et sans aucune élégance – une chute des plus idiotes Mes yeux cependant s'écarquillent face à ta main tendue et je ne l'accepte pas tout de suite me demandant ce que tu avais derrière la tête : n'oublie jamais ta nature et la défiance que je suis censé lui devoir Finalement je l'attrape et me relève m'époussetant les parties ayant été en contact avec le sol crasseux – ah, personne ne passait donc nettoyer cette rue ?
J'ai un léger sourire quand tu évoques ma sagesse des plus particulières et qui, tu pouvais t'en douter en laissait plus d'un perplexe : mais la sagesse qu'elle soit folle ou raisonnée reste sagesse, après tout Le plus sage des hommes passera aisément pour un fou s'il ne répond pas aux standards qu'on attend de lui je réponds simplement et peut-être que finalement nous sommes similaires en ce point
Nouvelle réponse qui satisfait le Sphinx, son regard se posant sur Anael, l'intérêt piqué à vif par cet être étonnant. Sur ce point, ils sont similaires. Alors, Sophia dont la curiosité n'a de cesse de la dévorer, bouillonne intérieurement.
- Correct, une nouvelle fois.
Un autre rictus apparaît sur les traits du monstre sous forme humaine, envahissant l'espace privé du démon.e semi-divin.e. Ses yeux scrutent son visage, son coprs, analysent et décrypte son langage corporel. Spécimen fascinant, elle souhaite l'étudier jusqu'à le comprendre parfaitement.
- Tu es donc bien différent des autres membres de ton espèce.
Lentement, elle se penche pour lui murmurer.
- Je te respecte pour cela.
Puis, elle fait un pas en arrière, toujours en lae fixant. Les bras désormais croisés, elle laisse son esprit s'interroger.
- Tu pourrais annoncer à tes camarades que tu connais un monstre. Pourquoi ne pas l'avoir déjà fait, hm ?
Pourtant, avant qu'iel ne puisse répondre, elle rajoute.
- Tu ne crains rien de mon côté. Comme promis, je préfère te savourer avant tout.
(end) Those who slither in the dark (Anael) Mar 25 Avr - 14:21
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Je sens que tu me scrutes avec une certaine intensité ; mais je n'en prête pas grande attention me contentant d'attendre patiemment te regardant simplement sans aucune animosité ni arrière-pensée particulière Et à ton murmure je comprends bien que j'ai attiré ta curiosité ─ je ne peux m'empêcher d'avoir un sourire en coin me disant que peut-être je pourrais me servir de ce « respect » pour mes propres intérêts un de ces jours
Voilà un compliment qui me touche en particulier quand il vient de quelqu'un comme vous je fais remarquer car il me semblait d'après les rares récits de rencontres infortunés que j'avais entendus ça et là qu'aucun monstre ne s'était jamais allés à quelques compliments sur leur proie avant de les dévorer ─ en ce sens, je devais bien avouer que cela faisait de toi une créature bien plus intéressante que les autres qui ne semblaient réfléchir qu'avec leur vulgaire estomac Mais je hausse les épaules à ta nouvelle remarque levant légèrement les yeux au ciel Je pense que chez nous c'est chose assez commune de connaître un monstre ou deux mais je doutais que beaucoup aient réussi à discuter ainsi comme je le faisais avec toi
Je comprends bien par tes paroles que tu me laissais simplement du sursis avant de me dévorer comme tu étais censé le faire Mais c'est bien aimable de votre part de me laisser vivre un peu plus longtemps ; je crains bien que vos semblables ne soient pas aussi... civilisés A vrai dire, je doute qu'ils se seraient embarrassé avec de futiles discussions
Iel mentionne les autres monstres du Lotus, ce qui arrache une moue dédaigneuse à Sophia. Il est vrai que ses camarades pensent davantage avec leurs estomacs qu'avec leurs esprits, en un sens, elle se démarque bien de ses congenères. Elle ne tue pas pour se nourrir, elle tue pour l'expérience, le sport, la curiosité intellectuelle.
Certainement pas pour se remplir la panse, bien qu'elle apprécie les mets délicats. Un soupir d'ennui se fait entendre, tandis que le Sphinx s'adosse contre le mur, croisant les bras en fixant Anael. Une lueur d'admiration (fascination) dans le regard, elle sent la joie d'avoir trouver une nouvelle proie (cobaye) pour son génie (folie).
- Hélas, je ne peux qu'approuver. Mes camarades t'auraient déjà dévorés, Anael. Bien que je ne doute pas de ton goût, je garde toujours le dessert pour la fin.
Un nouveau rictus offert pour cette progéniture d'Athéna, dont elle ne peut fuir le regard. Penchant légèrement la tête sur le côté, elle reprend la parole.
- S'il est chose commune pour ton espèce de côtoyer les monstres, il est plus rare de partager des moments intimes comme celui-ci, me semble t-il ? En un sens, Anael, tu es encore une fois hors du commun. Cela m'attire, je dois l'avouer en toute honnêteté.
Elle soutient encore son regard, se détachant du muret pour reprendre une posture droite.
(end) Those who slither in the dark (Anael) Mar 2 Mai - 19:10
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Je ne relève pas ta remarque sur ma fin, me contentant d'en sourire amèrement ; car si la chance et mes capacités n'avaient pas été avec moi lors de mes précédentes rencontres je ne serais peut-être pas là en train de te parler aussi calmement ─ quelle bien étrange rencontre quand j'y repense elle en serait presque irréelle
Je t'observe un moment et je remarque tes yeux comme accrochés à moi ne sachant si je devais y voir un astrologue fasciné par une étoile nouvelle ou un renard étudiant attentivement un lapin au loin Je hausse les épaules à ta remarque bien vraie ; je ne m'aventurerais pas, de mon côté, à qualifier ce moment « d'intime » mais il est vrai qu'il est bien particulier, comme instant ; aux antipodes de tout ce qu'on pourrait attendre des relations entre proies et prédateurs comme si ce n'était qu'une pause, une exception soudaine, dans cette lutte éternelle qui n'avait ni commencement ni fin Il est vrai que j'aurais été dévoré.e en temps normal tu m'épargnes bien des peines inutiles en me gardant pour le dessert comme tu l'as toi-même dit
Un sourire doux apparaît sur mon visage à ton étrange remarque et il ne faisait que cacher un intérêt à ce propos des plus intrigants ─ ces paroles étaient bien peu anodines de la part d'une créature encore plus prononcées envers un ennemi mortel comme moi et vois-tu elles ne me laissent point indifférent.e malgré ce que tu pourrais en penser et ne t'en fait donc point, j'en ai bien pris note ; je me dis que ce souhait innocent pourrait servir mes propres intérêts qu'il soit immédiat ou plus tardif (car qui sait ce que me réserve mon avenir ?) Le plaisir serait partagé mais je dois hélas vous quitter ; si vous souhaitez que nous nous revoyions un jour il serait plus sage de me laisser en vie Ce n'était qu'un sursis, je le savais, je n'oubliais pas ta nature, après tout ; mais je savais d'ors et déjà qu'il était précieux
Anael souhaite partir, petite souris retournant dans son trou avec les autres demi-dieux, bien au chaud et en sécurité. Ah, que le temps passse vite lorsque le sujet en face d'elle est aussi passionnant. Bien évidemment, elle garde un oeil sur lui, ce n'est pas la première fois qu'elle le suit - lui et ses déplacements qu'elle note dans son esprit organisé - et ce ne sera pas la dernière fois.
Hochant de la tête, le Sphinx s'écarte lentement du chemin d'Anael, lui laissant la route libre pour reprendre son chemin. Fin rictus neutre sur ses lèvres, la créature brise ce silence théâtral pour annoncer une dernière parole à son ami.e.
- Allons, je ne veux pas te tuer, Anael. Pas encore.
Emboitant les pas de l'enfant d'Athéna, Sophia reste proche (trop sans doute pour l'espace personnel d'Anael), s'amusant à potentiellement l'effrayer avant de prendre une autre direction, retournant dans sa propre antre, les mains dans le dos. Son regard balaie la foule de mortels l'entourant, l'ennui - hélas ! est déjà de retour.
- A notre prochain rendez-vous, Tempest. Dit-elle à voix basse.
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