— réside à
agôn district, loin de la majorité de ses adelphes, proche du théâtre qu'il visite souvent par nostalgie ; sa malédiction lui a empêché d'y faire carrière
— sa malédiction c'est qu'il
ne peut pas mentir— sa seconde malédiction c'est que c'est une
petite merde— sa
nature sacrificielle et d'une grave légèreté se traduit par une inconscience ridicule, galvanisée par le besoin d'être vu
— vu davantage que reconnu ; il se fiche d'être admiré ou craint ou quoi que ce soit
— se faufile naturellement dans
toutes les sphères, invité ou non : il suffit que vous soyez à proximité pour qu'il engage la discute avec vous comme si vous étiez déjà de bon-nes copaines, passé-es par des années de séparation, d'engueulades et d'embrassades, avant de vous retrouver à nouveau sur le pas de votre porte, tandis qu'il vous tend votre recommandé
— un faible pour les figures maternelles ou d'autorité,
qu'en dirait freud— des gens avec qui faire des soirées glauques et étincelantes à new-york, des gens qu'il a déçu et qu'il ne prend pas la peine de laisser tranquille, d'autres qui parviennent par miracle à l'énerver réellement, une vraie colère rouge et nerveuse d'enfant, d'autres qu'il exaspère juste mais que son côté oiseau moqueur amuse malgré tout, ceux qui préfèrerait l'écraser entre leurs paumes, de toute façon il faut qu'il meurt, un jour — une fois avant la vraie, des aventures inabouties car il est ce qu'il est (gros baiseur aromantique), des ami-es aussi quand même, un peu
— il est d'ailleurs capable de se sacrifier pour des gens à qui il n'est pas si attaché que ça, valorise leurs qualités intrinsèques avant son propre lien à eux. il se considère naturellement externe aux relations humaines, tout en étant physiquement très envahissant
— son surnom dans la street c'est
nono, à toutes les sauces, méprisant affectueux railleur enfantilisant
— sa fiche
ici— je lui ai trouvé un visu pour le jouer mais de base c'est un oc que je dessine donc retrouvez sa gueule originelle
là,
là,
là,
là,
là,
là et
là