lazare o'mara les autres

fils de dionysos

statut demi-dieu âge vingt-six ans genre m cis origines britanniques et greco-divines orientation pan métier camboy les premiers temps, peu à peu porté sur la financial domination - environ trois ans qu'il a stoppé les livestreams pour se consacrer pleinement à la profession. définition findom tw//sex work ish:

l'indolence

cale henituse ☼ totcf
lorenzo zurzolo

1m84 ✦ 79 kg ✦ châtain foncé, regard vert d’eau ✦ lazy eyes, fleuris des cils, lui filent un œil de midinette ✦ ses joues piquées d’étoiles inverses la faute à tous ces grains de beauté ✦ sur l’angle droit des épaules les fringues sont extrêmement griffées, cousues d’étiquettes dont les noms déclenchent le vertige ✦ jusque dans la décontraction, ses chemises fluides ses chinos lâches, à l’identique sont hors de prix ✦ comme si son allure clignotait, vous scandait un slogan : vénal, vénal, vénal ! ✦ des apparences, juste ça ✦ si Lazare s’habille si ruineux c’est parce que pourquoi pas ? il peut ✦ aurait des mains graciles s’il se les abîmait moins ✦ songeur il ronge la peau des pouces quitte à saigner au coin des ongles ✦ pour calmer la nervosité il triture les bagues à ses doigts, qu’il a nombreuses, imposantes et toutes serties de semi-pierres dans les tons chauds ✦ sent L’Innommable de Serge Lutens - son parfumeur favori au passage - c’est un souffle d’épices, coupé à la bergamote et à la fleur d’oranger, en son sein de la cannelle, du café, et comme une pointe de cumin ✦ a des acouphènes, côté gauche en particulier, fait qu'il a la manie d'écouter vaguement de profil ✦ …

illusions (rang A)

permet d'altérer la réalité en usant d'illusions.

capacités dues à la maitrise : Qu’est-ce que votre personnage peut faire, pendant combien de temps, sur combien de personnes ?

alcokinésie (rang b)

manipulation de l’alcool. capacité de transformer n’importe quel liquide ou objet en alcool. peut également choisir d’être totalement immunisé aux effets de l’alcool ou au contraire de rendre un individu ivre.

capacités dues à la maitrise : Qu’est-ce que votre personnage peut faire, pendant combien de temps, sur combien de personnes ?

rythme cardiaque (rang b)

capacité d'entendre et contrôler les battements de cœur.

capacités dues à la maitrise : Qu’est-ce que votre personnage peut faire, pendant combien de temps, sur combien de personnes ?

folie (rang c)

capacité à induire et guérir la folie pendant un temps limité

capacités dues à la maitrise : Qu’est-ce que votre personnage peut faire, pendant combien de temps, sur combien de personnes ?

dear So-and-So, I’m sorry I came to your party
        and seduced you
and left you bruised and ruined, you poor sad thing.
                                                        you want a better story. who wouldn’t?

Lazare

c’est - ou plutôt - c’était : cinq litres de sève absorbés par le sol, le miel cinabre qu’avaient bu les boiseries et le papier peint - c’était ces lambeaux de corps, ces pans entiers de peau, ces bouts d’organes vitaux et leur hémoglobine - c’était les restes du meurtre et le cannibalisme, en indices épars, la flaque au pied du lit et les rideaux rougis - c’était infâme, et puis informe. c’était une chose abjecte qui n’avait plus de nom ;

Lazare

c’est moi, tu dis ? tu m’as dit tant de fois que ça ne veut rien dire, Lazare, fait qu’un instant j’en cherche la définition. je me creuse l’esprit pour inhumer le moi, déterrer mon cadavre et l’appeler ainsi. Lazare. il me semble que c’est la dépouille d’un homme auparavant un môme dont on a tout bâclé, et depuis qui s’en vante, qui s’invente un adulte abouti, un vainqueur, alors qu’il rêve encore de lui-même à six ans en train d’attendre sa mère dans une chambre d’hôtel. c’est une fausse grande personne, un bohème qui ment, qui s’affirme indolent pour nier son déni, ses affres, sa dépravation lâche. c’est un macchabée las, malheureux pré-mortem. c’était moi

(mais moi j’ai tout donné de moi, à quelque Ange qu’il me mâche, me digère - ne me recrache pas ! - j’ai dit, dissous-moi dans la bile, qu’on ne m'y trouve jamais) ;

(oh bien sûr j’ai gardé le même œil, la même bouche, les mêmes traits orgiaques et dedans mes viscères, cet appétit - le même qu’à ma première version - pour le sybaritisme, les lovelaces et l’ivresse) ;

Lazare... ça peut être moi ! mon prénom de nouveau
du moment que Lazare n’est plus un vrai faux-prince

du moment qu’on se garde de me rendre ma vie - celle d’avant mon carnage, putassière et caduque - qu’on m’en accorde une autre, une neuve, où l’on m’attend nulle part, où je n’attends personne ;
ah, je sais ! c’est un caprice - je sais - je le sais que j’ai dit vouloir la farniente, mes journées dionysiaques mais salubres ; j’avais tort ! au fond je les veux folles, toutes mes heures au suivant. je veux la vie sans dieux. sans les ordres des dieux qui résonnent au crâne. la vie si non-croyante que je n’ai pas besoin, tu vois, de tout le bruit du monde pour les faire un peu taire ; où il n’y a pas les voix - où il n’y a que ta voix - ou la mienne ; je ne sais pas...
je ne sais pas ! ce que peut être Lazare ;

peut-être une offense ? un phœnix parjure
re-né de cendres crasses.


les grilles mordorées du simili-Paradis s’étaient alors ouvertes, en grand,
et le voilà qui revint au monde dans un vacarme de tambours !
des bacchanales à ses talons, toujours.

est-ce que la bénédiction d'Hébé a déjà dû être utilisée ?
oui, même s'il méritait peu. après tout s'était-il offert - volontiers,
volontaire - en pâture dégoûtante à l'Aigle du Caucase.

décemment hors-la-loi depuis l’été dernier, il se tient donc loin de l’Île et ses idoles ☼ s’est planqué ça et là - avant d’enfin mander l’asile au Danaé ☼ il y mène la vie de satyre inchangée, c’est-à-dire, les clients s’y déplacent exprès pour se payer une poignée d’heures chastes accompagnées de lui ☼ le plus souvent Lazare les reçoit à dîner, s’éternise sciemment au resto du palace afin que ses convives claquent une petite fortune ☼ en cela les additions sont comme des offrandes, son tribut à l’hôtel en échange d’une cache ☼ il en sort peu, d’ailleurs, si ce n’est tard la nuit à des occasions rares pour traîner en des lieux buvards et bruyants ☼ fils de personne à sa naissance, puisqu'il en est un de la démesure au final il assume gracieusement son rôle ☼ très débrouillard, très dans l'indépendance - quasi-trop ☼ atteignable en surface, ses affects paraissent à portée - au départ - les amours de Lazare, elles s’avèrent hermétiques à mesure qu'on l’apprend ☼ au fond il n'est fidèle qu'à celleux connu.es tôt, apprivoisé.es tant qu’on était adolescents ☼ bref, loyal clébard avec le sang et sinon c'est un chien ☼ ne ressent aucun embarras vis-à-vis de ce qu'il est, d'où il vient, de ce qu'il fait - a contrario choquer le flatte pratiquement ☼ couve un mépris voilé, macéré des années, pour l’Olympe et ses divins soi-disant louables ☼ n’est jamais parvenu à vénérer dûment ni tout le Panthéon ni même son propre père ☼ il estime davantage le commun des mortels, et malgré qu’il se plaise en demi-déité il reste fort attaché à son côté jeune homme ☼ il l’a plein d’un éclat délicat et baroque, propice à la débâcle - mais la bienséante, qui sait faire quatre cents coups sans cingler vulgaire ☼ révère sa mère avec une pudeur dévouée, s’occupe d’elle comme on veille sur une gamine adulte - la loge, accessoirement, vu qu'il règle son loyer ☼ en grande partie pour elle qu’il brûlait de gagner des richesses faciles dès lors qu’il avait l’âge ☼ sa tendance dépensière tend à l’irresponsable - matérialiste en rien, simplement insatiable - il a passé l’enfance privé de superflu, la compense quelque part en flambant sans-souci ☼ comme une forme de fugue dans son oisiveté, en fait, on dirait qu’elle lui sert à s’assommer parfois ☼ s’il s’entendait penser chaque minute des jours, peut-être qu’il se flinguerait.

qui est son parent mortel ? Maman. elle possède un prénom - Maria comme l’Ave - dont Lazare se sert quand elle s’oublie sa mère. c’est qu’elle est une addicte aux jeux depuis toujours - et pas les glamours style poker texas hold 'em, plutôt les éclatés style tickets à gratter. entre deux gains risibles elle se ruine sans cesse ;
à tel point qu’une époque on vivait à l’hôtel, les mois les plus chanceux, tant qu’elle avait un pactole à dilapider. une fois la dèche atteinte on sautait les repas de façon si flagrante qu’on alarmait l’État. les périodes de disette, Lazare était placé - en foyer ou famille, d’accueil dans tous les cas - languissant des semaines jusqu’au prochain miracle. dès que Maria tombait sur la bonne scratchcard elle reparaissait d’emblée pour ravoir la garde.

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quel est le souvenir le plus marquant de son enfance ? les soirs interminables à patienter seul, en tailleur par terre face au téléviseur, d’ici que Maria passe la porte de leur chambre. il se rappelle les programmes nocturnes idiots, la rumeur des voix au-delà les cloisons - tantôt des chuchotis tantôt de vraies chicanes - et puis, et puis l’odeur fleurie du parfum de sa mère qui imprégnait le lit, le linge et les rideaux.

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à quel âge a-t-iel rejoint Nausikaa ? par quels moyens ? il frôlait les onze ans. son assistance sociale partant à la retraite, il s’attendait crédule à rencontrer une autre - une toute aussi gentille. une plus jolie, qui sait ? la nymphe qui l’a reçu dans son bureau l’était - gentille, et si jolie - Lazare n’a pu que suivre.

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comment s'est déroulée sa cérémonie d’arrivée ? un peu comme les arrivées vécues mille fois ; ça ne l’a pas dérouté d’être un débarqué soudain au milieu d’une marée d’inconnus. il n’était pas timide, réservé à la limite mais comme on l’est vite, au début, lorsqu’on ignore encore qui l’on aimera bien.

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a t-iel été réclamé ? si oui, quand ? oui, et illico. ça l’a mortifié. il était tôt pour dire ce qu’il pensait tout haut alors c’était tout bas qu’il a songé, fâché, pour qui il se prend, lui ? à s’affirmer mon père. j’sais pas t’es qui. pour moi t’es rien.

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quelle relation entretient-iel avec son parent divin ? emoji unamused, emoji rolling_eyes. ce n’est pas la rancune - Lazare la ressent peu - mais il adule sa mère résolument, d’abord, et dédaigne son père de ce fait puéril. il le convoite, puis le dédaigne, puis le convoite à nouveau et s’en formalise. sans être dans l’affrontement, il provoquait fréquemment son autorité en refusant par exemple de lui faire l’hommage, à la fin des repas.

Ici l'histoire.

Naissance Né durant une belle nuit d'été, les arabesques de la maternité étaient très arrondis dis donc. La mère possédait déjà à son actif vingt-huit printemps !
8 ans Très bizarre, cet enfant est spécial tout le monde le regarde bizarre c'est spécial. Personne ne sait pourquoi est-ce qu'il a l'air autant au bout de sa vie.
12 ans *Gasp* Putain mais mon père est un dieu !

mimo la refonte obligatoire là sinon jv être perdu

fiche v1:

le cara ???????
ptn ta plume m'a manqué j'en peux plus
ENFIN on va pouvoir re-rp ensemble
mon mood à ce constat :

j'aime déjà tellement Lazare
le findom en métier, j'me souviens qu'on en a trop parlé avec nos coca zéro en terrasse que ça serait incroyable d'avoir un oc qui fait ça ET TU L'AS FAIT
j'suis refaite
puis bon, trop hâte de lire la suite (même si je sais déjà et que je ouiin fort, on serre le poing hein)
je t'aime, courage pour la suite de la rédaction